Il suffit d’une seule fois, un moment d’égarement
Une envie soudaine de se trouver un amant
Ou croire que le grand amour est arrivé
Quand il vous couvre de baisers enfiévrés.
Accord tacite de goûter juste au plaisir d’un soir
Le lendemain se quitter d’un simple au revoir
Où y avoir cru, garder l’espoir et se sentir déçu
Quand au téléphone l’autre ne répond plus
Il suffit d’une fois, un moment de précipitions
Faire fi de la plus simple des précautions
Se dire que cela n’arrive qu’à ceux qui, en fait, comme nous
Se sont passer un jour de ce petit bout de caoutchouc.
Que l’on soit adolescent ou à la force de l’age
La maladie peut un jour vous prendre en otage
Lorsque survient le bilan, de se remémorer cette erreur
Il ne reste plus que les pleurs et la peur.
Il suffit d’une fois, je ne permettrai pas de juger
Comme tout le monde, il m’est arrivé
De ne pas avoir oser demandé à mon partenaire
Dans le feu de l’action, s’il avait le nécessaire.
Où est le romantisme, les regards qui pétillent
Le sourire gourmand qui fait frémir les papilles
Les violons que l’on entend au loin et le cœur qui bat
Si, d’un coup, on pense à cette maladie là.
Mais il suffit d’une fois, un oubli ou simple indifférence
Se dire que tout çà n’a pas beaucoup d’importance
Rire, se moquer de tout, continuer les ébats.
Et se réveiller le lendemain dans les draps du sida.
Une envie soudaine de se trouver un amant
Ou croire que le grand amour est arrivé
Quand il vous couvre de baisers enfiévrés.
Accord tacite de goûter juste au plaisir d’un soir
Le lendemain se quitter d’un simple au revoir
Où y avoir cru, garder l’espoir et se sentir déçu
Quand au téléphone l’autre ne répond plus
Il suffit d’une fois, un moment de précipitions
Faire fi de la plus simple des précautions
Se dire que cela n’arrive qu’à ceux qui, en fait, comme nous
Se sont passer un jour de ce petit bout de caoutchouc.
Que l’on soit adolescent ou à la force de l’age
La maladie peut un jour vous prendre en otage
Lorsque survient le bilan, de se remémorer cette erreur
Il ne reste plus que les pleurs et la peur.
Il suffit d’une fois, je ne permettrai pas de juger
Comme tout le monde, il m’est arrivé
De ne pas avoir oser demandé à mon partenaire
Dans le feu de l’action, s’il avait le nécessaire.
Où est le romantisme, les regards qui pétillent
Le sourire gourmand qui fait frémir les papilles
Les violons que l’on entend au loin et le cœur qui bat
Si, d’un coup, on pense à cette maladie là.
Mais il suffit d’une fois, un oubli ou simple indifférence
Se dire que tout çà n’a pas beaucoup d’importance
Rire, se moquer de tout, continuer les ébats.
Et se réveiller le lendemain dans les draps du sida.