Ignorance.
Universalité d’une pensée
Piquée par le scorpion énervé
Le chat fait le don rond
Et le rat se cache au siphon
La morale est élastique
Je me dois être politique
Car se profile…
En ligne droite le dialogue
En ces grottes, je suis géologue
Je m’arrête sur une doctrine
Crevant mes yeux, arrachant mon cœur
Je meurs, seul, en d’intenses douleurs.
Caressant des mains ta sainte poitrine
Je brise la vitrine...
La puissance du verbe est splendide
Je ne retiens que les jardins vides
Sous les cris de joie des enfants noyés
Petits monstres vêlés par la vache attardée
Le testament est de bon augure
Aux lèvres bourrées de confiture
M’arrêtant sur le miroir aux alouettes
Je plonge mon visage dans la couette
Elles sont grasses les cuisses des filles…
Alors, in fine, je refuse l’Histoire
Écrite en ce vieux grimoire
Bourgeons de mon existence
Vestige de mon ignorance
Loïc ROUSSELOT
Loïc ROUSSELOUniversalité d’une pensée
Piquée par le scorpion énervé
Le chat fait le don rond
Et le rat se cache au siphon
La morale est élastique
Je me dois être politique
Car se profile…
En ligne droite le dialogue
En ces grottes, je suis géologue
Je m’arrête sur une doctrine
Crevant mes yeux, arrachant mon cœur
Je meurs, seul, en d’intenses douleurs.
Caressant des mains ta sainte poitrine
Je brise la vitrine...
La puissance du verbe est splendide
Je ne retiens que les jardins vides
Sous les cris de joie des enfants noyés
Petits monstres vêlés par la vache attardée
Le testament est de bon augure
Aux lèvres bourrées de confiture
M’arrêtant sur le miroir aux alouettes
Je plonge mon visage dans la couette
Elles sont grasses les cuisses des filles…
Alors, in fine, je refuse l’Histoire
Écrite en ce vieux grimoire
Bourgeons de mon existence
Vestige de mon ignorance
Loïc ROUSSELOT