Inspiré par le poème de Lys pour sa petite soeur "j'aime à croire"
L'âme garde un visage et c'est une espérance
L'âme c'est un oiseau qui plane à l'infini
Une nouvelle vie , une ultime existence
Dans une patrie où jamais rien ne finit
Une grande prairie où chacun a sa place
Sans haines , sans désirs , sans lourds et vains fardeaux
Point de religion , de continent ,de race
Aux yeux de Jèhovah , tous les morts sont égaux
On s'en remet paisible , à son Pére tutélaire
On croit à son Amour sans craindre son courroux
Et l'on vit calmement son temps crépusculaire
A l'abri du mensonge , au diable les gourous
Les morts des ans passés sont devenus mémoire
Il nous reste leur voix et parfois des remords
Chacun passe ici-bas sa vie expiatoire
Pour effacer un peu quelqu'anciens désaccords
Ils ne reviendront plus , ils habitent les cimes
Sous la sage clémence et le juste pardon
Plus de bons , de méchants, de forts , plus d'infirmes
L'hymne à l'Eternité se chante à l'unisson
Dans l'attrait lumineux d'une éternelle aurore
Ils vivent de printemps tous ceux qui sont partis
Et à chaque départ , une âme vient d'éclore
Dans la maison des Cieux , fleur parmi les épis......
L'âme garde un visage et c'est une espérance
L'âme c'est un oiseau qui plane à l'infini
Une nouvelle vie , une ultime existence
Dans une patrie où jamais rien ne finit
Une grande prairie où chacun a sa place
Sans haines , sans désirs , sans lourds et vains fardeaux
Point de religion , de continent ,de race
Aux yeux de Jèhovah , tous les morts sont égaux
On s'en remet paisible , à son Pére tutélaire
On croit à son Amour sans craindre son courroux
Et l'on vit calmement son temps crépusculaire
A l'abri du mensonge , au diable les gourous
Les morts des ans passés sont devenus mémoire
Il nous reste leur voix et parfois des remords
Chacun passe ici-bas sa vie expiatoire
Pour effacer un peu quelqu'anciens désaccords
Ils ne reviendront plus , ils habitent les cimes
Sous la sage clémence et le juste pardon
Plus de bons , de méchants, de forts , plus d'infirmes
L'hymne à l'Eternité se chante à l'unisson
Dans l'attrait lumineux d'une éternelle aurore
Ils vivent de printemps tous ceux qui sont partis
Et à chaque départ , une âme vient d'éclore
Dans la maison des Cieux , fleur parmi les épis......