Je te regarde ma douce amie, et je te vois changer.
Tes beaux cheveux blonds ont blanchi sous le poids des années.
Emprisonnant les esprits des hommes à travers ton passé.
Tu étais une vierge pure et te voilà violée.
Ta genèse fit naitre l’amour et la passion sur la terre.
Tu savais très bien que tout serait éphémère.
Mais peu importe, tu voulais être notre douce mère,
Prête à nous défendre et à faire la guerre.
De passion en déraison, l’amour disparut de nos cœurs.
Nos vies aujourd'hui sont faites de haine et de rancœur.
Enfermés chez nous, de tout nous avons peur,
Incapable de te regarder en face, esclave de nos erreurs.
Faut-il croire encore en toi, humanité ?
Est-ce que les hommes t’ont vraiment mérité ?
Tu étais le graal remplit de vérité
Et te voilà aujourd’hui sur le sol bafouée.
Tu es l’âme du monde et de nos vies,
Tu as su pardonner tout nos conflits.
Pourtant, nous t’avons infligé tant de soucis
Et ton cœur, je le sens, ralentit.
Une mère ne peut supporter tant de souffrances,
Elle a dans le cœur tellement de tolérance.
De moi, tu te souviens encore de mon enfance,
Ce n’était qu’une seconde dans ton existence.
Ma douce amie, je souhaite qu’un jour tu nous auras pardonné.
Je parle là de toutes nos cruautés.
Tu as été tellement de fois persécutée
Qu’aujourd’hui c’est à nous de nous excuser.
Tes beaux cheveux blonds ont blanchi sous le poids des années.
Emprisonnant les esprits des hommes à travers ton passé.
Tu étais une vierge pure et te voilà violée.
Ta genèse fit naitre l’amour et la passion sur la terre.
Tu savais très bien que tout serait éphémère.
Mais peu importe, tu voulais être notre douce mère,
Prête à nous défendre et à faire la guerre.
De passion en déraison, l’amour disparut de nos cœurs.
Nos vies aujourd'hui sont faites de haine et de rancœur.
Enfermés chez nous, de tout nous avons peur,
Incapable de te regarder en face, esclave de nos erreurs.
Faut-il croire encore en toi, humanité ?
Est-ce que les hommes t’ont vraiment mérité ?
Tu étais le graal remplit de vérité
Et te voilà aujourd’hui sur le sol bafouée.
Tu es l’âme du monde et de nos vies,
Tu as su pardonner tout nos conflits.
Pourtant, nous t’avons infligé tant de soucis
Et ton cœur, je le sens, ralentit.
Une mère ne peut supporter tant de souffrances,
Elle a dans le cœur tellement de tolérance.
De moi, tu te souviens encore de mon enfance,
Ce n’était qu’une seconde dans ton existence.
Ma douce amie, je souhaite qu’un jour tu nous auras pardonné.
Je parle là de toutes nos cruautés.
Tu as été tellement de fois persécutée
Qu’aujourd’hui c’est à nous de nous excuser.