L'été t'a emporté, en tout intimité
Et sur ta Poésie, et nos coeurs attristés
Le vent qui vient souffler, verse l'intensité
Que l'âme d'un Poète, vit pour l'éternité
Dans un jardin de roses, aux lueurs de l'aurore
Les Muses à Gonfaron, murmurent ton prénom
Vestales de Pignans, en contemplant les Maures
Leurs yeux bercent au matin, l'aura d'un Pharaon
Lorsque la foudre éclaire, l'orage d'un autel
Les larmes des fontaines, baume sacramentel
Bénissent de leurs messes, les traits de ton visage
Pélerin des consciences, d'une beauté sans âge
Flotte vers Toi Sylvain , humblement mon hommage
La Paix baigne ton âme, Ô Poète Eternel
Paule
Adesias Sylvain
Et sur ta Poésie, et nos coeurs attristés
Le vent qui vient souffler, verse l'intensité
Que l'âme d'un Poète, vit pour l'éternité
Dans un jardin de roses, aux lueurs de l'aurore
Les Muses à Gonfaron, murmurent ton prénom
Vestales de Pignans, en contemplant les Maures
Leurs yeux bercent au matin, l'aura d'un Pharaon
Lorsque la foudre éclaire, l'orage d'un autel
Les larmes des fontaines, baume sacramentel
Bénissent de leurs messes, les traits de ton visage
Pélerin des consciences, d'une beauté sans âge
Flotte vers Toi Sylvain , humblement mon hommage
La Paix baigne ton âme, Ô Poète Eternel
Paule
Adesias Sylvain