Enfin libéré de mes si lourdes chaines
forgées sciemment par la roue de mon destin,
Je prend place au centre, sans bruit et sans haine.
Les pleurs, les cris, les passions se confondent au loin.
Mon âme en paix, s'éprend des jeux et lumières
aux abords, du chemin des milliers d'arc en ciel.
Je parcours le grand hall des siècles, d'humeur légère.
Tant le temps, s'évanouit d'un simple coup d'aile.
En ce haut lieu de secrets à l'accès si facile
se joignent nos séraphins immémoriaux,
venus pour notre planète tenir concile.
Sans que ne soit jamais prononcé un seul mot.
Pour nous, ils dénoncent notre talon d'Achille.
"Avec la terre pour seul vaisseau, surveille ton ô"
forgées sciemment par la roue de mon destin,
Je prend place au centre, sans bruit et sans haine.
Les pleurs, les cris, les passions se confondent au loin.
Mon âme en paix, s'éprend des jeux et lumières
aux abords, du chemin des milliers d'arc en ciel.
Je parcours le grand hall des siècles, d'humeur légère.
Tant le temps, s'évanouit d'un simple coup d'aile.
En ce haut lieu de secrets à l'accès si facile
se joignent nos séraphins immémoriaux,
venus pour notre planète tenir concile.
Sans que ne soit jamais prononcé un seul mot.
Pour nous, ils dénoncent notre talon d'Achille.
"Avec la terre pour seul vaisseau, surveille ton ô"