Tout le temps J’appréhende la vieillesse
De voir sur le visage des autres de mon âge
Le triste reflet du mien que le temps agresse
Et laisse ses marques de ravage.
O combien je te pleure ma jeunesse
Toi qui m’as offert des instants si merveilleux
Qui m’a fait connaître l’amour et la tendresse
Découvrir le monde et des voyages fabuleux.
Sombre délire que de vouloir paraître plus qu’être
Mais ma passion pour ma belle vieillesse
Me fait souffrir d’aimer car il faut bien l’admettre
Ma vieillesse elle s’accroche à ma vie
Je veux donner mon temps, mes ans et mes heures
Pour encore la séduite et lui donner envie
De partager avec moi des années de bonheur.
Et si simplement je vivais le temps présent
Et que ma douce vie m’accepte comme suis
Qu’elle me voit en beauté avec des sentiments
Le jour dans mon esprit ferait place à la nuit.
Amitié Faty
De voir sur le visage des autres de mon âge
Le triste reflet du mien que le temps agresse
Et laisse ses marques de ravage.
O combien je te pleure ma jeunesse
Toi qui m’as offert des instants si merveilleux
Qui m’a fait connaître l’amour et la tendresse
Découvrir le monde et des voyages fabuleux.
Sombre délire que de vouloir paraître plus qu’être
Mais ma passion pour ma belle vieillesse
Me fait souffrir d’aimer car il faut bien l’admettre
Ma vieillesse elle s’accroche à ma vie
Je veux donner mon temps, mes ans et mes heures
Pour encore la séduite et lui donner envie
De partager avec moi des années de bonheur.
Et si simplement je vivais le temps présent
Et que ma douce vie m’accepte comme suis
Qu’elle me voit en beauté avec des sentiments
Le jour dans mon esprit ferait place à la nuit.
Amitié Faty