Hélas, nous y allons tous !
Façonnés, du limon de la terre
Nous oublions qu'étant poussière
Pour durer dans l'existence chimère;
La vie dépend de nos prières !
Puisqu'en fait n'étant rien !
Dans ce temps qui défile
Ne laissant pas tranquille ;
Peu à peu on décline !
Que la mort nous domine ;
Devenus les ingrédients,
Prisés de sa cuisine !
Car pour elle, nous sommes !
Comme à l'humain, la pomme;
Des simples larves
Des verres de terre !
Stoppant rires, et ambitions;
Elle annihilera toutes nos actions "
Nous renvoyant d'où nous venons
Qu'ainsi se taisent les passions;
Les désirs de gloire; et renoms !
Nous ne sommes qu'une infime poussière,
Hélas, à la merci, de l'ennemi séculaire
Qui dès notre naissance canalise nos pas;
Pour immanquablement nous conduire au trépas !
Subir le mauvais coup porté à nos ancêtres
Et aux yeux des vivants nous faire disparaître.
En laissant dans la peine nos proches, nos amis;
Désespérés de nous voir, inerte, privé de vie !
Guyh
Façonnés, du limon de la terre
Nous oublions qu'étant poussière
Pour durer dans l'existence chimère;
La vie dépend de nos prières !
Puisqu'en fait n'étant rien !
Dans ce temps qui défile
Ne laissant pas tranquille ;
Peu à peu on décline !
Que la mort nous domine ;
Devenus les ingrédients,
Prisés de sa cuisine !
Car pour elle, nous sommes !
Comme à l'humain, la pomme;
Des simples larves
Des verres de terre !
Stoppant rires, et ambitions;
Elle annihilera toutes nos actions "
Nous renvoyant d'où nous venons
Qu'ainsi se taisent les passions;
Les désirs de gloire; et renoms !
Nous ne sommes qu'une infime poussière,
Hélas, à la merci, de l'ennemi séculaire
Qui dès notre naissance canalise nos pas;
Pour immanquablement nous conduire au trépas !
Subir le mauvais coup porté à nos ancêtres
Et aux yeux des vivants nous faire disparaître.
En laissant dans la peine nos proches, nos amis;
Désespérés de nous voir, inerte, privé de vie !
Guyh