Les larmes sont souvent cachées, pourtant dans le cœur de couler
Souffrances de l’être sensible, détresse de l’homme si tourmenté
Ont-elles de mes yeux couler ? Non, éternellement en moi refoulées
Données et reçues, toutes ces tendresses, ces douceurs acidulées
Vie débordante d’amour, pourquoi mon cœur continue t’il de saigner ?
Aux anges, pourtant il a été, au paradis il vous a souvent accompagné
Plus beau encore que l’on puisse rêver, un Eden au parfum d’éternité
Grandes et merveilleuses unions de deux cœurs en train de s’aimer
Âmes en harmonie avec les cieux, unies et liées elles se sont envolées
Les doux moments de tendresse, de deux corps s’aimant entrelacés
Personnages de belles légendes, tels Roméo et Juliette ainsi réincarnés
Les plus grands amours, les plus purs, naissent hors l’union sacrée
Plus fort, plus grand que tout, incontrôlable, ils ne sont pas prémédités
Éminents sentiments, qui font, qu’a cet autre, on ne fait que penser
Portent l’amour au paroxysme, celui-ci n’est plus que pure beauté
En celui-ci on veut se fondre, s’unir, et par lui ne plus être, exister
Eux, tous ces êtres qui nous entourent, nous sont devenus étranger
Des questions nous assaillent, ma vie l’ai-je ratée, ainsi gâchée ?
Cicatrices, a jamais ouvertes, qui laissent ma mélancolie s’échapper
etrangemessager
Souffrances de l’être sensible, détresse de l’homme si tourmenté
Ont-elles de mes yeux couler ? Non, éternellement en moi refoulées
Données et reçues, toutes ces tendresses, ces douceurs acidulées
Vie débordante d’amour, pourquoi mon cœur continue t’il de saigner ?
Aux anges, pourtant il a été, au paradis il vous a souvent accompagné
Plus beau encore que l’on puisse rêver, un Eden au parfum d’éternité
Grandes et merveilleuses unions de deux cœurs en train de s’aimer
Âmes en harmonie avec les cieux, unies et liées elles se sont envolées
Les doux moments de tendresse, de deux corps s’aimant entrelacés
Personnages de belles légendes, tels Roméo et Juliette ainsi réincarnés
Les plus grands amours, les plus purs, naissent hors l’union sacrée
Plus fort, plus grand que tout, incontrôlable, ils ne sont pas prémédités
Éminents sentiments, qui font, qu’a cet autre, on ne fait que penser
Portent l’amour au paroxysme, celui-ci n’est plus que pure beauté
En celui-ci on veut se fondre, s’unir, et par lui ne plus être, exister
Eux, tous ces êtres qui nous entourent, nous sont devenus étranger
Des questions nous assaillent, ma vie l’ai-je ratée, ainsi gâchée ?
Cicatrices, a jamais ouvertes, qui laissent ma mélancolie s’échapper
etrangemessager