Il est difficile de ne pas se rendre compte aujourd’hui, comme c’était le cas hier, que certains français courageux, travailleurs ou retraités sont dans un tourbillon incessant qui les maintient dans la misère.
«...Misère, misère c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément!. »
Souvent seuls, face à cette réalité quotidienne, ils s’adaptent comme peuvent le faire les pauvres plantes en bordure du désert.
Dotés d’un courage qui force l’admiration, ils avancent sagement, longtemps ils ont bravé les rudesses et les bassesses d’un monde bien réel qui frappent sur les pauvres pour vivre de richesses.
«... Misère, misère c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !. »
Qu’ont-ils fait, ou pas fait pour mériter un tel supplice eux, les gens honnêtes, les galériens, les souffre douleur sociétals, les oubliés, les rincés aux os saillants aux visages creusés par les années de labeur?.
«...Misère, misère c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !. »
Ils ont pourtant cru sans y croire en Georges, François, Jacques, Nicolas, au nouveau François puis à Emmanuel pour les guider vers un peu plus d’humanité mais la sagesse des hommes grands n’est jamais venue à leur secours!.
" ...Misère, misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t'acharnes obstinément ! ».
Bien sûr on leur a fait miroiter ponctuellement une société plus juste, plus attentive à leur malheur, mais l’artifice n’a duré qu’un instant et cet espoir croyez-le bien, au fer rouge est resté ancré dans leur mémoire comme une trahison.
Pourquoi tant de mépris? pourquoi cette richesse insolente qui les entoure les noient dans une profusion d’images, flattant les valeurs universelles aux mots puissants et évocateurs de liberté, d’égalité et de fraternité les laissent au bord d’un chemin sans issu sans avenir?.
«....Misère, misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t'acharnes obstinément !.»
On leur parle de transition écologique, eux qui n’aspirent qu’à une transition celle qui pourra leur permettre de boucler leur fin de mois. Il faut que la haute société respire pour continuer à sourire, ils lui doivent bien se sacrifice eux qui polluent leur espace vital avec leurs guimbardes d’un autre temps.
«...Misère,misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !.»
Et quand arrive le moment libérateur, celui qui les a toujours fait rêver, eux qui ne rêvent plus souvent, eux qui par bonheur ont élevé beaucoup d’enfants près à prendre leur relève, ils s'aperçoivent avec stupeur qu’ils n’auront droit qu’à une retraite de misère, pour ne pas dire suicidaire, ne leur permettant pas de finir leurs jours dans une maison au long séjour.
...Misère, misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !. »
Ils créveront dans la misère, ne mangeant qu’une fois par jour, passerons les hivers sans chauffage, glaneront les invendus sur les marchés, dormirons dans leurs misérable tacots, et lorsque l’heure de leur fin sonnera, ils auront cette phrase en tête, misère, misère, pourquoi sur les pauvres t'acharnes-tu obstinément?.
Écrit d’un trait sans faire un retour sur la misère.
Maurice Marcouly
Capdenac
Le haut lieu de la résistance gauloise face aux Romains de
César!.
J’aimerais Twitter ce texte je ne sais pas faire, le mettre sur Facebook si quelqu’un veut s’en charger....Merci
Momo le clochard céleste au cerveau poussiéreux.
«...Misère, misère c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément!. »
Souvent seuls, face à cette réalité quotidienne, ils s’adaptent comme peuvent le faire les pauvres plantes en bordure du désert.
Dotés d’un courage qui force l’admiration, ils avancent sagement, longtemps ils ont bravé les rudesses et les bassesses d’un monde bien réel qui frappent sur les pauvres pour vivre de richesses.
«... Misère, misère c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !. »
Qu’ont-ils fait, ou pas fait pour mériter un tel supplice eux, les gens honnêtes, les galériens, les souffre douleur sociétals, les oubliés, les rincés aux os saillants aux visages creusés par les années de labeur?.
«...Misère, misère c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !. »
Ils ont pourtant cru sans y croire en Georges, François, Jacques, Nicolas, au nouveau François puis à Emmanuel pour les guider vers un peu plus d’humanité mais la sagesse des hommes grands n’est jamais venue à leur secours!.
" ...Misère, misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t'acharnes obstinément ! ».
Bien sûr on leur a fait miroiter ponctuellement une société plus juste, plus attentive à leur malheur, mais l’artifice n’a duré qu’un instant et cet espoir croyez-le bien, au fer rouge est resté ancré dans leur mémoire comme une trahison.
Pourquoi tant de mépris? pourquoi cette richesse insolente qui les entoure les noient dans une profusion d’images, flattant les valeurs universelles aux mots puissants et évocateurs de liberté, d’égalité et de fraternité les laissent au bord d’un chemin sans issu sans avenir?.
«....Misère, misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t'acharnes obstinément !.»
On leur parle de transition écologique, eux qui n’aspirent qu’à une transition celle qui pourra leur permettre de boucler leur fin de mois. Il faut que la haute société respire pour continuer à sourire, ils lui doivent bien se sacrifice eux qui polluent leur espace vital avec leurs guimbardes d’un autre temps.
«...Misère,misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !.»
Et quand arrive le moment libérateur, celui qui les a toujours fait rêver, eux qui ne rêvent plus souvent, eux qui par bonheur ont élevé beaucoup d’enfants près à prendre leur relève, ils s'aperçoivent avec stupeur qu’ils n’auront droit qu’à une retraite de misère, pour ne pas dire suicidaire, ne leur permettant pas de finir leurs jours dans une maison au long séjour.
...Misère, misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément !. »
Ils créveront dans la misère, ne mangeant qu’une fois par jour, passerons les hivers sans chauffage, glaneront les invendus sur les marchés, dormirons dans leurs misérable tacots, et lorsque l’heure de leur fin sonnera, ils auront cette phrase en tête, misère, misère, pourquoi sur les pauvres t'acharnes-tu obstinément?.
Écrit d’un trait sans faire un retour sur la misère.
Maurice Marcouly
Capdenac
Le haut lieu de la résistance gauloise face aux Romains de
César!.
J’aimerais Twitter ce texte je ne sais pas faire, le mettre sur Facebook si quelqu’un veut s’en charger....Merci
Momo le clochard céleste au cerveau poussiéreux.
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