Il grêle sur le grès du gouffre et le guide guindé, sans gourde, gouaille mais se goure de gué dans la gorge, d'où le grave grief du gradé sanguin qu'une grive grise griffe. Sans gui et sans grigri, c'est la guigne comme à la guerre dans la taïga où j'élaguais les grumes, gueule t-il. En guise de blague, le goal, qui ne brigue guère un tango dans les égouts du golf, dingue de yoga et de pingpong, se grouille, gobe et goûte avec dégoût une goutte de ciguë. Fais gaffe à ta greffe, mon gars. Go, gags à gogo dans les gogues de la gare de Gap en grève où la gale gratte le dogue rogue d'un gringo gras goï grippé qui guette un grog pendant les agapes d'un grand gugusse gaga bègue et gauche qui drague une girl gouine, sans un gramme de graisse, en groles et en string sur le ring de la gargote sans logo, où il se goinfre, grille du grain en grappe et graille graines grasses, agrumes et figues du frigo qui grince du gond gourd, comme le groin du gros dugong qui grogne, gronde comme un gong et fait ding dong sous le cargo garé à la digue et gavé de gasoil et de gaz gâté par les algues. Le zig se ligue avec un gang dans un gang bang, engage un drogué grimé qui grimpe la grue avec une dague aiguë et gruge un groupe gay grec de toute la gamme de ses bagues. Bingo ! Grâce au gain, il lègue une gomme et une gouache en vogue. Vague saga gâchée à mon gré dans ce paragraphe.
