Comme tu es merveilleuse
Vraiment je ne sais plus quoi faire
Du bout des doigts je voudrais te toucher
Même ça c’est trop, juste te regarder
Puis que vienne abondamment mon éjaculation
Oh ! Mais pourquoi t’es si belle
Et en plus tu es remplie de grâce
Regardes ; ne vois tu pas ta démarche altière
C’est de la pure caresse que le sol reçoit
Mais pourquoi je n’étais pas une partie
Tu m’aurais aussi marché dessus
Et ainsi en portant tes robes, jupe ou jupette
La vue serait plus qu’une fête
Ma curiosité me dépasse
Ta poitrine, ta poitrine, elle m’hypnotise
Je suis à deux doigts d’adorer tes saints de sein
Bien plus qu’un nouveau née
Mes bras et mes membres se sentent
Comme s’ils n’avaient encore rien toucher
Ils s’habillent d’une pureté extrême
Dans l’espérance de te bercer
T’allonger et prends le temps qu’il faut
Même si on sonne la fin du monde
Pour bien contemplé tes reliefs dans la nudité parfaite
Avec un millimètre prés, mes mains voudront y aller …
A la découverte des tes parties frissonnantes
Ecarter tes jambes avec une brise venant de ma bouche
Puis sans passeport et ni valise voyager avec toi
Les yeux fermés nous irons toucher les ailes des oiseux
Et submerger l’océan avec la sueur de nos deux corps liés nues
En écoutant dans ta voix jouissante
Dans une musique paradisiaque
Vraiment je ne sais plus quoi faire
Du bout des doigts je voudrais te toucher
Même ça c’est trop, juste te regarder
Puis que vienne abondamment mon éjaculation
Oh ! Mais pourquoi t’es si belle
Et en plus tu es remplie de grâce
Regardes ; ne vois tu pas ta démarche altière
C’est de la pure caresse que le sol reçoit
Mais pourquoi je n’étais pas une partie
Tu m’aurais aussi marché dessus
Et ainsi en portant tes robes, jupe ou jupette
La vue serait plus qu’une fête
Ma curiosité me dépasse
Ta poitrine, ta poitrine, elle m’hypnotise
Je suis à deux doigts d’adorer tes saints de sein
Bien plus qu’un nouveau née
Mes bras et mes membres se sentent
Comme s’ils n’avaient encore rien toucher
Ils s’habillent d’une pureté extrême
Dans l’espérance de te bercer
T’allonger et prends le temps qu’il faut
Même si on sonne la fin du monde
Pour bien contemplé tes reliefs dans la nudité parfaite
Avec un millimètre prés, mes mains voudront y aller …
A la découverte des tes parties frissonnantes
Ecarter tes jambes avec une brise venant de ma bouche
Puis sans passeport et ni valise voyager avec toi
Les yeux fermés nous irons toucher les ailes des oiseux
Et submerger l’océan avec la sueur de nos deux corps liés nues
En écoutant dans ta voix jouissante
Dans une musique paradisiaque
