Les maisons aux toits d’ardoises grises
Ses maisons de pierres battues de vents
Avec leur colombages du temps médiéval
C’est un beau pays, là où je vie
Et ses filles brunes sur un banc, assises
Dans le port le cri des mouettes, strident
Et toutes ces battissent monumentales
C’est un beau pays, là où je vie
(Bon ben on va arrêter là la flânerie^^)