Sous la foudre la Fiat du filou file dans la flotte, où, en forme, un veuf sans aphte surfe du phare au wharf, le foc dans le flux, sans filet, et la Ford ou l'Alpha fluo fonce et frôle la faible femme fardée aphone, fauche un faon et freine sous le frêle frêne entre l'if et la nef, en feu, flambe et fume dans la faille au flanc du golf en face de la ferme. C'est la faute à la faune qui a faim, dit à la foule, le fade faux fan fourbe qui fouille, fouisse et farfouille au pif en force le foin du bœuf avec la fourche et fourgue avec faste, un far, un œuf frais fêlé, des frites et des fraises au self pour faire du fric. Ce fat pas franc frime avec son froc neuf froncé qui flatte ses fesses, fripe d'un fric frac au turf, forfait ou il a figé ses fèces sur un fax, fourré son foutre froid dans le fût en fer puis dans le four. Ce fou, paf, au tifs frisés, sans foi, fort, fore une fente au fond, fixe une fève au feutre de la fronde, efface les fibres, fouette les fleurs, puis flâne avec flemme. Cette fois fusent les griefs. Bref, bof, c'est flou mais c'est une fable, une farce d'une fausse fée qui feint et fuit en flèche les flammes de l'enfer. La phase de fin, le vif chef du fief qui a du flair, piaffe, file, flingue et fend la fanfare en fête, la flute flanche et foire un fa et la fugue, une fouine feule, les piafs et l'effraie fuient effrayés mais saufs. Quel film !
