Farde tes mains sales !
Tu es mon obligé pour tant de fous rêves,
Privés, fictifs, matins au goût de trépas,
Cette bouche froide, lointaine sans trêves,
Baisers en perdition, inutiles appâts,
Privés, fictifs, matins au goût de trépas,
Ce sourire calanché à jamais sur les lèvres,
Baisers en perdition, inutiles appâts,
Ô Dieu! Personne sans prix d'orfèvre,
Ce sourire calanché à jamais sur les lèvres,
Ce coutelas au cœur, aliéné immortel,
Ô Dieu! Personne sans prix d'orfèvre,
Tu fus toute ma vie, celui là, untel!
Ce coutelas au cœur, aliéné immortel,
Cette dague au ceinturon, en chasse fièvre,
Tu fus toute ma vie, celui là, untel!
Cet inconnu, voleur d'air, telle plèvre.
LILASYS
Tu es mon obligé pour tant de fous rêves,
Privés, fictifs, matins au goût de trépas,
Cette bouche froide, lointaine sans trêves,
Baisers en perdition, inutiles appâts,
Privés, fictifs, matins au goût de trépas,
Ce sourire calanché à jamais sur les lèvres,
Baisers en perdition, inutiles appâts,
Ô Dieu! Personne sans prix d'orfèvre,
Ce sourire calanché à jamais sur les lèvres,
Ce coutelas au cœur, aliéné immortel,
Ô Dieu! Personne sans prix d'orfèvre,
Tu fus toute ma vie, celui là, untel!
Ce coutelas au cœur, aliéné immortel,
Cette dague au ceinturon, en chasse fièvre,
Tu fus toute ma vie, celui là, untel!
Cet inconnu, voleur d'air, telle plèvre.
LILASYS