Dans cette chambre sombre
Je te distingue allongé sur ce matelas sans lit
Tu pleures, tu t’ébranles dans la pénombre
Car toi et moi c’est finit
Je suis là à tes côtés
De te voir si triste, je suis peinée
Je sais qu’il ne faut pas, je dois lutter
Mais je ne peux m’empêcher de te cajoler
Tendrement je te caresse les cheveux
Je le sens, je le sais
De moi, tu es toujours amoureux
Malgré tout le mal que tu me fais
Tu me dis qu’il ne faut pas
Que ce que je fais ne rime à rien
Mais toi et moi sommes liés par ce lien
Tes larmes, comme à chaque fois, me mettent en émoi
Doucement je te prend contre moi
Ton visage se cale au creux de mes seins
Encore une fois, une dernière, je veux te sentir mien
Délicatement tu me repousses
Je pose mes doigts sur tes lèvres humides de larmes
Puis un baiser vient sceller nos frimousses
Tu me prends enfin dans tes bras, ça y est tu baisses les armes
Je sens la chaleur de ton corps contre le mien
Faisant naître des envies en mon vagin
Tes mains caressent le creux de mes reins
Puis peu à peu me serrent contre toi pour ne plus faire qu’un
Tu me veux, je sens au travers du jean ton désir
Cette transe me chauffe, me fait gémir
Tu aimes, tu dénudes ma poitrine en la caressant sur les vêtements
Je n’y résiste pas, je t’attend
Lentement tu baisses le bonnet de mon sein droit
Tes doigts si habiles me gonfle de désir ce téton
Où tu déposes ta bouche si douce, tu fais ta loi
Puis cette langue si chaude chatouille ce petit bout marron
J’ai mal de plaisir
Je gémis et dirige ta main droite vers mon triangle d’amour
Tu passes ta main sous le pantalon, la culotte de soi qui te faisait rougir
Ton index trouve de suite ce bouton sorti de sa fleur de toujours
Un gémissement frêle se distingue dans ma bouche
Au travers de ton souffle d’excitation
Tu me dis que tu aimes ma chatte humide, que c’est bon
La toucher à nouveau, te fais renaître, sur moi tu te couches
Je te sens tellement fort
Tu lèves le tissu qui te sépare de ma peau
Moi je fais de même avec toi, j’avais oublier que tu étais beau
Je te tiens contre moi, sans tort
Nous n’y tenons plus
Nous voulons nous aimer l’un l’autre
Mutuellement nous nous mettons à nus
Tu te baisses, ta bouche veut boire cette eau si chaude
Mon corps s’anime
Je ne résiste pas à la douceur de ton amour donné
Je ramène tes lèvres mouillées sur les miennes
Tu me regardes, je sais ce qui va se passer, ton visage se mine
Et ton pénis si beau si dur et tendre à la fois
Pénètre cette entrée d’amour, prisonnière de ton corps,
Que je t’offre avec tant d’envie et d’émoi
Avec un plaisir partagé, tu étouffes le son rauque de ta voix
Ça y est, tu es là
Je te sens enfin en moi
La sensation que je ressens est si forte et belle
Je suis si fiévreuse d’amour, qu’il te suffit d’une étincelle
Pour mettre le feu à mon plaisir
Notre plaisir partagé, de ce va-et-vient qui s’accélère,
Se fait de plus en plus rapproché, tu vas jouir,
Je veux le faire au même instant, je veux le sentir
Ton souffle se perd, mes yeux s’écarquillent
Nous voilà dans le tourbillon de plaisir, de jouissance
Je suis au bord de la perte de connaissance
Cette étreinte se perdure, puis c’est l’extase et dans un cri de victoire, elle nous électrise
Lentement tu cesses cette course folle
Mon corps se brise sous se déhanchement, qui faiblit seconde par seconde
Tes lèvres viennent déposer un tendre baiser sur ma nuque, tu me cajoles
Tu veux me quitter mais je te retiens, restons seuls encore un moment au monde
Dans l’ivresse du plaisir assouvit ensemble
Mes jambes flageolent encore, non elles tremblent
Doucement tu te retires, tu me frôles les seins de tes avant bras
Je viens me mettre tout contre toi
Tu me demandes si je t’aime toujours
J’acquiesce à ta question
Tu caresses mes cheveux, tous deux encore le souffle court
Doucement nous sommes revenus à la raison
Contre toi je me repose
Toi et moi ne seront toujours qu’un
Non seulement pour ce que tu fais au creux de mes reins
Mais aussi parce que je t’aime, et ça c’est la première des causes
Je te distingue allongé sur ce matelas sans lit
Tu pleures, tu t’ébranles dans la pénombre
Car toi et moi c’est finit
Je suis là à tes côtés
De te voir si triste, je suis peinée
Je sais qu’il ne faut pas, je dois lutter
Mais je ne peux m’empêcher de te cajoler
Tendrement je te caresse les cheveux
Je le sens, je le sais
De moi, tu es toujours amoureux
Malgré tout le mal que tu me fais
Tu me dis qu’il ne faut pas
Que ce que je fais ne rime à rien
Mais toi et moi sommes liés par ce lien
Tes larmes, comme à chaque fois, me mettent en émoi
Doucement je te prend contre moi
Ton visage se cale au creux de mes seins
Encore une fois, une dernière, je veux te sentir mien
Délicatement tu me repousses
Je pose mes doigts sur tes lèvres humides de larmes
Puis un baiser vient sceller nos frimousses
Tu me prends enfin dans tes bras, ça y est tu baisses les armes
Je sens la chaleur de ton corps contre le mien
Faisant naître des envies en mon vagin
Tes mains caressent le creux de mes reins
Puis peu à peu me serrent contre toi pour ne plus faire qu’un
Tu me veux, je sens au travers du jean ton désir
Cette transe me chauffe, me fait gémir
Tu aimes, tu dénudes ma poitrine en la caressant sur les vêtements
Je n’y résiste pas, je t’attend
Lentement tu baisses le bonnet de mon sein droit
Tes doigts si habiles me gonfle de désir ce téton
Où tu déposes ta bouche si douce, tu fais ta loi
Puis cette langue si chaude chatouille ce petit bout marron
J’ai mal de plaisir
Je gémis et dirige ta main droite vers mon triangle d’amour
Tu passes ta main sous le pantalon, la culotte de soi qui te faisait rougir
Ton index trouve de suite ce bouton sorti de sa fleur de toujours
Un gémissement frêle se distingue dans ma bouche
Au travers de ton souffle d’excitation
Tu me dis que tu aimes ma chatte humide, que c’est bon
La toucher à nouveau, te fais renaître, sur moi tu te couches
Je te sens tellement fort
Tu lèves le tissu qui te sépare de ma peau
Moi je fais de même avec toi, j’avais oublier que tu étais beau
Je te tiens contre moi, sans tort
Nous n’y tenons plus
Nous voulons nous aimer l’un l’autre
Mutuellement nous nous mettons à nus
Tu te baisses, ta bouche veut boire cette eau si chaude
Mon corps s’anime
Je ne résiste pas à la douceur de ton amour donné
Je ramène tes lèvres mouillées sur les miennes
Tu me regardes, je sais ce qui va se passer, ton visage se mine
Et ton pénis si beau si dur et tendre à la fois
Pénètre cette entrée d’amour, prisonnière de ton corps,
Que je t’offre avec tant d’envie et d’émoi
Avec un plaisir partagé, tu étouffes le son rauque de ta voix
Ça y est, tu es là
Je te sens enfin en moi
La sensation que je ressens est si forte et belle
Je suis si fiévreuse d’amour, qu’il te suffit d’une étincelle
Pour mettre le feu à mon plaisir
Notre plaisir partagé, de ce va-et-vient qui s’accélère,
Se fait de plus en plus rapproché, tu vas jouir,
Je veux le faire au même instant, je veux le sentir
Ton souffle se perd, mes yeux s’écarquillent
Nous voilà dans le tourbillon de plaisir, de jouissance
Je suis au bord de la perte de connaissance
Cette étreinte se perdure, puis c’est l’extase et dans un cri de victoire, elle nous électrise
Lentement tu cesses cette course folle
Mon corps se brise sous se déhanchement, qui faiblit seconde par seconde
Tes lèvres viennent déposer un tendre baiser sur ma nuque, tu me cajoles
Tu veux me quitter mais je te retiens, restons seuls encore un moment au monde
Dans l’ivresse du plaisir assouvit ensemble
Mes jambes flageolent encore, non elles tremblent
Doucement tu te retires, tu me frôles les seins de tes avant bras
Je viens me mettre tout contre toi
Tu me demandes si je t’aime toujours
J’acquiesce à ta question
Tu caresses mes cheveux, tous deux encore le souffle court
Doucement nous sommes revenus à la raison
Contre toi je me repose
Toi et moi ne seront toujours qu’un
Non seulement pour ce que tu fais au creux de mes reins
Mais aussi parce que je t’aime, et ça c’est la première des causes