Fachgôche - enfin - ôte le masque
Et remet sa veste à l’endroit ;
Face voilée, coiffée d’un casque,
Elle peinait à marcher droit.
Elle a clamé plus de cent fois :
Je veux que l’homme se délivre
Et qu’il suive ma Loi, sans foi
Sans qu’il ait le choix de son livre.
Toute ma souffrance est un cri :
Aïe ! Que j’ai mal à ma morale !
Relisez-moi, je l’ai écrit
Et l’ai chanté dans ma chorale.
Oui, j’ai volé, (assez tué)
Mais j’ai voté pour le partage
A part si un patron tu es
Qui passe l’hiver à Carthage.
C’est maintenant, le changement :
Du commerce, je suis la reine…
Si tu entends mon chant, je mens :
Je vends du vent ; j’avance et freine...
Et remet sa veste à l’endroit ;
Face voilée, coiffée d’un casque,
Elle peinait à marcher droit.
Elle a clamé plus de cent fois :
Je veux que l’homme se délivre
Et qu’il suive ma Loi, sans foi
Sans qu’il ait le choix de son livre.
Toute ma souffrance est un cri :
Aïe ! Que j’ai mal à ma morale !
Relisez-moi, je l’ai écrit
Et l’ai chanté dans ma chorale.
Oui, j’ai volé, (assez tué)
Mais j’ai voté pour le partage
A part si un patron tu es
Qui passe l’hiver à Carthage.
C’est maintenant, le changement :
Du commerce, je suis la reine…
Si tu entends mon chant, je mens :
Je vends du vent ; j’avance et freine...