étrange comme je t'aime
J'ai le feu du volcan, la chaleur du désert, la saveur de la terre, la lueur d'une lune claire.
Je n'ai rien, que dans le coeur, l'immensité du ciel ouvert.
J'ai la fraîcheur d'une rivière, la colère du typhon.
J'ai l'amour d'une mère, les tourments des quatre vents.
Comme ils tombent, comme ils tombent les flocons de l'hiver.
Ils s'entassent dans ma tête comme mes contradictions.
Et mes perles d'amour, dans un écrin de poussière...
Étrange comme je t'aime...
Comme le fleuve je m'abreuve à l'océan de ta pensée.
Je boirai toute l'eau de la mer pour que tu viennes m'aimer.
Pieds nus dans la terre simplement comme hier...
Prise au piège, j'écoute les tambours de la pluie.
Je pleure au torrents convoyant la souffrance d'autrui.
Trop de choses à la fois se font des routes dans ma tête.
Alors je ne sais plus rien, sauf que pour toi je creuserai de nouveaux sillons aux mélodies de l'univers...
Je vais reculer le soleil pour savourer le sommeil.
Étrange comme je t'aime
J'ai le feu du volcan, la chaleur du désert, la saveur de la terre, la lueur d'une lune claire.
Je n'ai rien, que dans le coeur, l'immensité du ciel ouvert.
J'ai la fraîcheur d'une rivière, la colère du typhon.
J'ai l'amour d'une mère, les tourments des quatre vents.
Comme ils tombent, comme ils tombent les flocons de l'hiver.
Ils s'entassent dans ma tête comme mes contradictions.
Et mes perles d'amour, dans un écrin de poussière...
Étrange comme je t'aime...
Comme le fleuve je m'abreuve à l'océan de ta pensée.
Je boirai toute l'eau de la mer pour que tu viennes m'aimer.
Pieds nus dans la terre simplement comme hier...
Prise au piège, j'écoute les tambours de la pluie.
Je pleure au torrents convoyant la souffrance d'autrui.
Trop de choses à la fois se font des routes dans ma tête.
Alors je ne sais plus rien, sauf que pour toi je creuserai de nouveaux sillons aux mélodies de l'univers...
Je vais reculer le soleil pour savourer le sommeil.
Étrange comme je t'aime