Voyageant avec Jean de Hèse
Il ne faut plus que je me taise,
J'ai l'esprit saisi de vertiges
Devant la foison des prodiges,
De l'immense Asie, les merveilles
Découvertes sous les soleils.
Au bord de volcans sibériens
Des hommes à tête de chien.
Dans de brumeuses mers lointaines
Tant de poissons à face humaine,
Des pygmées noirs et minuscules
Ou bien des géants monocules.
Errant au delà d'Andrinople
Vers une mine de sinople,
Un soir, brillant comme une étoile,
Du secret soulevant le voile,
Du Mont Edum qui resplendit
J'ai vu le mur du Paradis.
Il ne faut plus que je me taise,
J'ai l'esprit saisi de vertiges
Devant la foison des prodiges,
De l'immense Asie, les merveilles
Découvertes sous les soleils.
Au bord de volcans sibériens
Des hommes à tête de chien.
Dans de brumeuses mers lointaines
Tant de poissons à face humaine,
Des pygmées noirs et minuscules
Ou bien des géants monocules.
Errant au delà d'Andrinople
Vers une mine de sinople,
Un soir, brillant comme une étoile,
Du secret soulevant le voile,
Du Mont Edum qui resplendit
J'ai vu le mur du Paradis.
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