J'ai voulu te laisser tranquille
Alors que mon corps appelait le tien
Que je voulais faire de toi mon ile
Mon havre de paix, tes yeux dans les miens.
J'ai voulu te donner une chance
De connaître mieux, plus fort, plus longtemps
Une femme, des enfants, des vacances
Des rôles qui t'iraient si bien, certainement.
Je voulais te lâcher les baskets
Que tu vois d'autres sourires, d'autres yeux
Que tu saches combien c'est douloureux
D'écouter son cœur plutôt que sa tête.
Oui j'ai voulu t'oublier un peu
Ne pas être égoïste et futile
Mais j'ai envie de sentir ce feu
Y renoncer, crois moi, est difficile.
J'ai voulu ignorer cette voix
Qui me répète sans cesse « Ouvre les yeux ! »
Je ne pouvais t'imposer ce choix
Mais je rêvais d'instants merveilleux.
Je rêve encore d'étreintes et de caresses
De jeux de mains, de sourires, de joie,
On goûte avant de dire « J'aime pas »
Laisse moi une fois être ta maîtresse
Si tu veux, après, tu partiras.
Eléa-Myrtille
Alors que mon corps appelait le tien
Que je voulais faire de toi mon ile
Mon havre de paix, tes yeux dans les miens.
J'ai voulu te donner une chance
De connaître mieux, plus fort, plus longtemps
Une femme, des enfants, des vacances
Des rôles qui t'iraient si bien, certainement.
Je voulais te lâcher les baskets
Que tu vois d'autres sourires, d'autres yeux
Que tu saches combien c'est douloureux
D'écouter son cœur plutôt que sa tête.
Oui j'ai voulu t'oublier un peu
Ne pas être égoïste et futile
Mais j'ai envie de sentir ce feu
Y renoncer, crois moi, est difficile.
J'ai voulu ignorer cette voix
Qui me répète sans cesse « Ouvre les yeux ! »
Je ne pouvais t'imposer ce choix
Mais je rêvais d'instants merveilleux.
Je rêve encore d'étreintes et de caresses
De jeux de mains, de sourires, de joie,
On goûte avant de dire « J'aime pas »
Laisse moi une fois être ta maîtresse
Si tu veux, après, tu partiras.
Eléa-Myrtille