C'est la fin de l'automne, les feuilles sont tombées,
Un frisson me parcourt, serre moi dans tes bras.
Je sens la chaleur de ton corps m'envelopper
Ma bouche est dans ton cou, je sens ton cœur qui bat.
Quand la neige est tombée en flocons délicats
Couvrant le bitume, et la boue, la saleté,
Elle a aussi gommé le chemin emprunté
Effaçant un à un le duo de nos pas.
Serre moi très fort contre toi, serre moi encore,
Même si c'est la dernière fois, sois mon rempart
Contre moi-même, peut-être as-tu raison ou tort,
Quand un cœur aime, il ignore pourquoi l'autre part.
Plus aucun décor enflammé d'or et de feu,
Les arbres nus étirent leurs branches décharnées.
Fini le temps des oisillons à protéger,
Entre automne et hiver, tout s'endort peu à peu.
Je tremble et frissonne, ton absence m'insupporte !
Je rève de ta bouche que je n'ai pas embrassée,
De nos corps fiévreux, d'une étreinte passionnée,
J'ignore si cela me tue ou me rend plus forte...
Du sommeil à l'éveil, il est une seconde
Où rien n'existe encore, et où l'esprit se perd.
Telles les Amour révées sur lesquelles rien ne se fonde,
Comme ces jours inutiles entre automne et hiver.
Eléa-Myrtille
Le 06/12/2017
Un frisson me parcourt, serre moi dans tes bras.
Je sens la chaleur de ton corps m'envelopper
Ma bouche est dans ton cou, je sens ton cœur qui bat.
Quand la neige est tombée en flocons délicats
Couvrant le bitume, et la boue, la saleté,
Elle a aussi gommé le chemin emprunté
Effaçant un à un le duo de nos pas.
Serre moi très fort contre toi, serre moi encore,
Même si c'est la dernière fois, sois mon rempart
Contre moi-même, peut-être as-tu raison ou tort,
Quand un cœur aime, il ignore pourquoi l'autre part.
Plus aucun décor enflammé d'or et de feu,
Les arbres nus étirent leurs branches décharnées.
Fini le temps des oisillons à protéger,
Entre automne et hiver, tout s'endort peu à peu.
Je tremble et frissonne, ton absence m'insupporte !
Je rève de ta bouche que je n'ai pas embrassée,
De nos corps fiévreux, d'une étreinte passionnée,
J'ignore si cela me tue ou me rend plus forte...
Du sommeil à l'éveil, il est une seconde
Où rien n'existe encore, et où l'esprit se perd.
Telles les Amour révées sur lesquelles rien ne se fonde,
Comme ces jours inutiles entre automne et hiver.
Eléa-Myrtille
Le 06/12/2017