Entends-tu ce silence assourdissant ?
Entends-tu ce silence assourdissant ?
Entends-tu nos cauchemars angoissants ?
Remet donc ta plume dans l’encrier,
Pour enfin tous tes maux nous crier.
Car ici, toujours on te suit,
Pour que tes larmes on essuie,
Ne plus supporter cette longue absence,
Ton abstinence nous enlève notre récompense.
D’un vers à l’autre on attend tes sourires,
Mais pour cela il te faut pour nous, écrire,
Tous ici nous aimons le partage,
Et ceci quelque soit notre âge.
Nous savons que toujours tu nous lis,
Nous espérons te faire des chatouillis,
Pour qu’en humour tu partes d’un grand rire,
Pour marquer chaque instant tes loisirs.
Entends-tu ce silence assourdissant ?
Entends-tu nos cauchemars angoissants ?
Remet donc ta plume dans l’encrier,
Pour enfin tous tes maux nous crier.
Entends-tu ce silence assourdissant ?
Entends-tu nos cauchemars angoissants ?
Remet donc ta plume dans l’encrier,
Pour enfin tous tes maux nous crier.
Car ici, toujours on te suit,
Pour que tes larmes on essuie,
Ne plus supporter cette longue absence,
Ton abstinence nous enlève notre récompense.
D’un vers à l’autre on attend tes sourires,
Mais pour cela il te faut pour nous, écrire,
Tous ici nous aimons le partage,
Et ceci quelque soit notre âge.
Nous savons que toujours tu nous lis,
Nous espérons te faire des chatouillis,
Pour qu’en humour tu partes d’un grand rire,
Pour marquer chaque instant tes loisirs.
Entends-tu ce silence assourdissant ?
Entends-tu nos cauchemars angoissants ?
Remet donc ta plume dans l’encrier,
Pour enfin tous tes maux nous crier.