Enfin, c'est l'été.
Quand là-haut dans le ciel, le beau temps se précise,
Dans toutes les forêts, le feuillage s'endort.
Et dans les champs de blé, la moisson mûre dort ;
Et se laisse bercer par une douce brise.
On dirait que le temps s'arrête et s'éternise.
Tel une mélodie, un somptueux décor ;
Quand le soleil ardent baigne les épis d'or ;
Dès le lever du jour, flamboyant, il attise.
Dans le cœur des jardins de la fertilité ;
Fleurissent les boutons dans la simplicité ;
Tout en bas, l'horizon a de la couleur rose.
Des milliers de reflets illuminent l'azur.
Cela semble irréel, quand l'air devient plus pur ;
Dégageant un parfum naturel qui s'impose.
W. Michel. Juillet 2024
Quand là-haut dans le ciel, le beau temps se précise,
Dans toutes les forêts, le feuillage s'endort.
Et dans les champs de blé, la moisson mûre dort ;
Et se laisse bercer par une douce brise.
On dirait que le temps s'arrête et s'éternise.
Tel une mélodie, un somptueux décor ;
Quand le soleil ardent baigne les épis d'or ;
Dès le lever du jour, flamboyant, il attise.
Dans le cœur des jardins de la fertilité ;
Fleurissent les boutons dans la simplicité ;
Tout en bas, l'horizon a de la couleur rose.
Des milliers de reflets illuminent l'azur.
Cela semble irréel, quand l'air devient plus pur ;
Dégageant un parfum naturel qui s'impose.
W. Michel. Juillet 2024
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