Pastiche de l'écrit d'Iboujo 5 minutes de silence
Nice......je pleure, sur ma route, me posa
J’aime vos prénoms, je soutiens bien des fois
Sans prix, avec émotion, c'est la douceur qui me lie
Tout bonnement nos mains, celles de notre fratrie.
Cette nuit, la lune, m’a pris, formant outrage,
L'innocence bafouée, par des semblants faux sages
L'humour seul peut combattre ses insanités
Je peux d’un devoir, mettre un sel d’humanité.
Tous les vieux réunis en ensemble de poètes
Au purgatoire en mystère feront mille fêtes
Veulent et peuvent humour et Fraternité
Aiguisant la raison des pervers sans trop de vanité.
Je quémande que le bien, en entendant les cris
Des toutes ces familles en grande souffrance.
Déposez vos cierges, mais debout restons au aguets
Sous le soleil ou la lune dès demain
Pour qu’arrivent des roses blanches
Et cent mille rimes adressées à la paix
Pour que tous les frimeurs, écrivains ou poètes
Frères ou soeurs conjuguent la douceur.
Dans un écrit grandiose
En hommage à cette ignoble folie
N'excusons aucun dieu, aucune religion
L’apostrophe n’est qu’un déni d’envieux.
Réflexions et minutes de silence simplement.....
Nice......je pleure, sur ma route, me posa
J’aime vos prénoms, je soutiens bien des fois
Sans prix, avec émotion, c'est la douceur qui me lie
Tout bonnement nos mains, celles de notre fratrie.
Cette nuit, la lune, m’a pris, formant outrage,
L'innocence bafouée, par des semblants faux sages
L'humour seul peut combattre ses insanités
Je peux d’un devoir, mettre un sel d’humanité.
Tous les vieux réunis en ensemble de poètes
Au purgatoire en mystère feront mille fêtes
Veulent et peuvent humour et Fraternité
Aiguisant la raison des pervers sans trop de vanité.
Je quémande que le bien, en entendant les cris
Des toutes ces familles en grande souffrance.
Déposez vos cierges, mais debout restons au aguets
Sous le soleil ou la lune dès demain
Pour qu’arrivent des roses blanches
Et cent mille rimes adressées à la paix
Pour que tous les frimeurs, écrivains ou poètes
Frères ou soeurs conjuguent la douceur.
Dans un écrit grandiose
En hommage à cette ignoble folie
N'excusons aucun dieu, aucune religion
L’apostrophe n’est qu’un déni d’envieux.
Réflexions et minutes de silence simplement.....
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