Moi j’aime faire l’amour dehors
Quand le soleil tape sur mon corps
Et qu'Eole caresse mon anus
Remontant jusqu'à mon prépuce
Au bord d’une rivière sur une couverture
Profitant du paysage et de cette nature
Après l’acte accompli piquer une tête
Pour se rafraîchir un peu la bête
La prendre sur le capot de la voiture
Quand le moteur est au haute température
Par un soir étoilé éclairés par la lune
Ca vaut mille fois une étreinte dans les dunes
Ou dans un transat sur ma terrasse
Caché du regard de l’autre pétasse
Je veux parler de ma chère voisine
La nonne, la dégoûtée de la pine
Planqués derrière notre haie de thuyas
Nous nous en donnons a cœur joie
Une main devant sa bouche
Pour ne pas que ça paraisse louche
Ne le faites jamais dans un champ d’avoine
Parole d’expert qui n’est pas un moine
Les têtes accrochées aux vêtements
A les retirer ça prend du temps
Quand le soleil tape sur mon corps
Et qu'Eole caresse mon anus
Remontant jusqu'à mon prépuce
Au bord d’une rivière sur une couverture
Profitant du paysage et de cette nature
Après l’acte accompli piquer une tête
Pour se rafraîchir un peu la bête
La prendre sur le capot de la voiture
Quand le moteur est au haute température
Par un soir étoilé éclairés par la lune
Ca vaut mille fois une étreinte dans les dunes
Ou dans un transat sur ma terrasse
Caché du regard de l’autre pétasse
Je veux parler de ma chère voisine
La nonne, la dégoûtée de la pine
Planqués derrière notre haie de thuyas
Nous nous en donnons a cœur joie
Une main devant sa bouche
Pour ne pas que ça paraisse louche
Ne le faites jamais dans un champ d’avoine
Parole d’expert qui n’est pas un moine
Les têtes accrochées aux vêtements
A les retirer ça prend du temps