Ô Lamartine
À y songer, J'aime tant y revenir
Glisser, baigner, briller sans vous mentir
De mon assiduité à vous lire
Régulièrement il va s'en dire
Le souffle coupé, mon âme jouit
Sur les monts silencieux du plaisir
J'y trouve l'aile du bien donnant le rythme
Le génie ivre dans l'image embellie
Le sens fleurie au son de votre lyre
C'est le parfum d'un songe qui nous conduit
C'est le soleil de toute une vie qui resplendit
C'est les zones d'ombre qui présentent amplifient
Je vogue sur le tumultueux lit
Tempête de rose comme caressante nuit
Votre zéphyr est riche de ses souvenirs
Le miens est fertile de tout ses fruits
Ensemble, c'est le temple de la magie
Similitude il y a, dans la formation vive
Aux mots figurés parlant à l'idée
Pour le moins agréablement surpris
Depuis que dans mon coeur vos poèmes s'illuminent
Vous ouvrez permettez moi, un huitième ciel
La musicalité parcourant des saintes galaxies
La lune et le soleil seraient flatté envié par tel magnifisme
Les hauts sommets peuvent rougir et grossir Mon corps est là, mon esprit est ébloui
Ma sensibilité se met à nue
Ma gentillesse, ma reconnaissance, mon honnêteté
Mes jours mes nuits dans le même bonheur rêvent du carré magique.
Je pourrais vous lire tous les jours de ma vie
Ça peut paraître incensé, exagérer, déraisonnable, fou allié que sais-je !
Je ne sais si ce sera le cas, mais pour vous dire combien je vous suis fidèle
Mon présent entouré de vos soleils.
À y songer, J'aime tant y revenir
Glisser, baigner, briller sans vous mentir
De mon assiduité à vous lire
Régulièrement il va s'en dire
Le souffle coupé, mon âme jouit
Sur les monts silencieux du plaisir
J'y trouve l'aile du bien donnant le rythme
Le génie ivre dans l'image embellie
Le sens fleurie au son de votre lyre
C'est le parfum d'un songe qui nous conduit
C'est le soleil de toute une vie qui resplendit
C'est les zones d'ombre qui présentent amplifient
Je vogue sur le tumultueux lit
Tempête de rose comme caressante nuit
Votre zéphyr est riche de ses souvenirs
Le miens est fertile de tout ses fruits
Ensemble, c'est le temple de la magie
Similitude il y a, dans la formation vive
Aux mots figurés parlant à l'idée
Pour le moins agréablement surpris
Depuis que dans mon coeur vos poèmes s'illuminent
Vous ouvrez permettez moi, un huitième ciel
La musicalité parcourant des saintes galaxies
La lune et le soleil seraient flatté envié par tel magnifisme
Les hauts sommets peuvent rougir et grossir Mon corps est là, mon esprit est ébloui
Ma sensibilité se met à nue
Ma gentillesse, ma reconnaissance, mon honnêteté
Mes jours mes nuits dans le même bonheur rêvent du carré magique.
Je pourrais vous lire tous les jours de ma vie
Ça peut paraître incensé, exagérer, déraisonnable, fou allié que sais-je !
Je ne sais si ce sera le cas, mais pour vous dire combien je vous suis fidèle
Mon présent entouré de vos soleils.
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