Elle voulait que son cœur, reste dans la discrétion de ses doigts.
Elle espérait que les regards ne se posent que sur ses écrits.
Aujourd’hui dans la nudité de ses aveux, elle s’est recouverte de silence.
Elle s’est évanouie parmi ses rimes, qui ont faillis guérir ses larmes.
Perdue, dans un labyrinthe de lignes d’or, emballées dans un écrin de cristal
Qu’il a déposé sous tous ces yeux, afin de célébrer leur amour.
Elle a fui vers un sommet de solitude, le sourire fatigué.
Où elle voudrait retrouver des vers inspirés de ses maux,
Soufflés par des muses moroses, qu’elle somme de revenir
Pour éclairer sa plume en sommeil.
Elle espérait que les regards ne se posent que sur ses écrits.
Aujourd’hui dans la nudité de ses aveux, elle s’est recouverte de silence.
Elle s’est évanouie parmi ses rimes, qui ont faillis guérir ses larmes.
Perdue, dans un labyrinthe de lignes d’or, emballées dans un écrin de cristal
Qu’il a déposé sous tous ces yeux, afin de célébrer leur amour.
Elle a fui vers un sommet de solitude, le sourire fatigué.
Où elle voudrait retrouver des vers inspirés de ses maux,
Soufflés par des muses moroses, qu’elle somme de revenir
Pour éclairer sa plume en sommeil.
