Je l'avais jamais vue, je n'avais jamais entendu parler d'elle,
Pourtant, sans le remarquer, je passer souvent à côté d'elle,
Bref, cette fille, elle est si belle, si pure, si douce,
Elle est vraiment exceptionnelle, et c'est la fille qui plaît à tous,
Et, plus le temps passe et plus je ressentais quelque chose,
Je me disais prend tes couilles, il serait peut-être temps que tu oses,
Un jour, j'ai croiser son regard et çà a pris de l'ampleur,
Mais bizaremment, je pressais ce regard, c'est comme si j'avais peur,
Ces regards persistaient, et je renssentais comme des réponses,
J'entendais même des voies qui me disait qu'il faut qu'j'fonce,
Moi c'est pas l'envie qui me manquait d'aller la voir,
Car je voulais la voir, la connaître et entendre sa voix,
Et un beau jour, quelle chance, on ses parler,
Je me suis rendu compte qu'elle n'avait pas que çà beauté,
On a parlé, on a appris à se connaître,
A travers ses points de vues, desfois, je me reconnais,
Et, petit à petit, cette fille à pris de l'importance,
Je la désire, je veux la voir, sans cesse à elle, je pense,
Je lui est dis se que je ressentais, que je voulais que sa progresse,
Que nos moments d'amitier deviennent des moments de tendresse,
Pourtant moi qui joue le fier,
Le lendemain, face à elle, j'étais pas forcément alaise,
Que face à la beauté, considérable de son visage,
La beauté de ses yeux, et sa maturité pour son âge,
Après quelques semaines, on s'est enfin rapproché,
Et le soir, au téléphone, on a du mal à raccroché,
C'est des petits trucs comme çà que je prends comme des signes,
Que j'interprète comme une feuille blanche, qui petit à petit se dessine,
Je me pose des questions, comme, dois-je avouer mes sentiments?
Ou dois-je fermer ma guele et faire çà tranquillement,
Finalement, j'me suis aussi assis de peur qu'elle me rejette,
Je lui est tout dit, de peur qu'un jour, je le regrette,
A la surprise, elle aussi m'as complimenté,
Et au contraire de se que je pensais, elle n'étais pas si compliquée,
Moi, qui croyais tant, qu'elle n'étais pas accessible,
Elle me dit que j'aitai pas mal, et là, je me sui dit ''imbécile'',
Car j'ai perdu du temps à l'extraordinaire,
C'est la fille belle, qui se prend pas la tête, et ordinaire,
Et quand je vais mal, c'est elle qui me redonne le moral,
Moi je lui dit qu'elle est unique, et elle, elle me dit qu'elle est normal,
Mais moi je sais, que j'ai trouvé un trésor inestimable,
J'ai découvert un ange tombé du ciel, si gentil, si aimable,
Et aujourd'hui, elle m'a, enfin donné son coeur,
Je jure que dans les moments forts, je serais là pour éponger ses pleures,
Moi c'est elle que j'veux, et je ferais tout pour çà,
Elle est indispensable dans ma vie, comme le ciel et les étoiles,
Car je suis tombé dans le love, faut dire qu'elle m'a rendue fou,
Attaqué comme la foudre, après quelques regards, c'était le coup de foudre,
Aujourd'hui, à tes côtés, je vis l'amour fou,
J'en arrive même à dire que tout le reste je m'en fou,
Bébé je t'aime et j'en ai rien à foutre de ce qui parle,
Et je me tuerais, s'il le faut, si un jour tu pars,
Et oui, çà fait longtemps que je te désirais,
Et si un jour je tai fais souffrir, j'en suis désolé,
Comment t'expliquer, tu es mon souffle, mon oxygène,
T'es ma raison de vivre et t'es surtout là femme que j'aime...
Pourtant, sans le remarquer, je passer souvent à côté d'elle,
Bref, cette fille, elle est si belle, si pure, si douce,
Elle est vraiment exceptionnelle, et c'est la fille qui plaît à tous,
Et, plus le temps passe et plus je ressentais quelque chose,
Je me disais prend tes couilles, il serait peut-être temps que tu oses,
Un jour, j'ai croiser son regard et çà a pris de l'ampleur,
Mais bizaremment, je pressais ce regard, c'est comme si j'avais peur,
Ces regards persistaient, et je renssentais comme des réponses,
J'entendais même des voies qui me disait qu'il faut qu'j'fonce,
Moi c'est pas l'envie qui me manquait d'aller la voir,
Car je voulais la voir, la connaître et entendre sa voix,
Et un beau jour, quelle chance, on ses parler,
Je me suis rendu compte qu'elle n'avait pas que çà beauté,
On a parlé, on a appris à se connaître,
A travers ses points de vues, desfois, je me reconnais,
Et, petit à petit, cette fille à pris de l'importance,
Je la désire, je veux la voir, sans cesse à elle, je pense,
Je lui est dis se que je ressentais, que je voulais que sa progresse,
Que nos moments d'amitier deviennent des moments de tendresse,
Pourtant moi qui joue le fier,
Le lendemain, face à elle, j'étais pas forcément alaise,
Que face à la beauté, considérable de son visage,
La beauté de ses yeux, et sa maturité pour son âge,
Après quelques semaines, on s'est enfin rapproché,
Et le soir, au téléphone, on a du mal à raccroché,
C'est des petits trucs comme çà que je prends comme des signes,
Que j'interprète comme une feuille blanche, qui petit à petit se dessine,
Je me pose des questions, comme, dois-je avouer mes sentiments?
Ou dois-je fermer ma guele et faire çà tranquillement,
Finalement, j'me suis aussi assis de peur qu'elle me rejette,
Je lui est tout dit, de peur qu'un jour, je le regrette,
A la surprise, elle aussi m'as complimenté,
Et au contraire de se que je pensais, elle n'étais pas si compliquée,
Moi, qui croyais tant, qu'elle n'étais pas accessible,
Elle me dit que j'aitai pas mal, et là, je me sui dit ''imbécile'',
Car j'ai perdu du temps à l'extraordinaire,
C'est la fille belle, qui se prend pas la tête, et ordinaire,
Et quand je vais mal, c'est elle qui me redonne le moral,
Moi je lui dit qu'elle est unique, et elle, elle me dit qu'elle est normal,
Mais moi je sais, que j'ai trouvé un trésor inestimable,
J'ai découvert un ange tombé du ciel, si gentil, si aimable,
Et aujourd'hui, elle m'a, enfin donné son coeur,
Je jure que dans les moments forts, je serais là pour éponger ses pleures,
Moi c'est elle que j'veux, et je ferais tout pour çà,
Elle est indispensable dans ma vie, comme le ciel et les étoiles,
Car je suis tombé dans le love, faut dire qu'elle m'a rendue fou,
Attaqué comme la foudre, après quelques regards, c'était le coup de foudre,
Aujourd'hui, à tes côtés, je vis l'amour fou,
J'en arrive même à dire que tout le reste je m'en fou,
Bébé je t'aime et j'en ai rien à foutre de ce qui parle,
Et je me tuerais, s'il le faut, si un jour tu pars,
Et oui, çà fait longtemps que je te désirais,
Et si un jour je tai fais souffrir, j'en suis désolé,
Comment t'expliquer, tu es mon souffle, mon oxygène,
T'es ma raison de vivre et t'es surtout là femme que j'aime...