Duo d’amours clandestins
Dans ton regard, j’ai vu luire l’espérance,
Celui-ci à panser par ses lueurs, mes blessures,
Bien qu’elles soient si assez profondes.
Il rayonnait de tendresse dans le soir assombri,
Mon cœur fut à la fois alourdi et fragile.
Le temps semblait un peu trop aride ce soir-là,
Retenant mon souffle bien saccadé,
D’un regard, je cherchais à t’atteindre.
Les battements de mon cœur étaient intenses,
Alors, je rêvais de tes bras afin qu’ils me rassurent,
Pourvu que nos corps se confondent et se fondent.
De cet amour, nous nous sommes tous les deux épris,
Nos gestes, nos baisers sont parfois malhabiles.
Même clandestinement, aimons-nous jusqu’à l’au-delà,
Créons-nous un paradis d’amour pour nous y évader,
Profitons de nos mains et nos corps pour s’étreindre.
Dans ton regard, j’ai vu luire l’espérance,
Celui-ci à panser par ses lueurs, mes blessures,
Bien qu’elles soient si assez profondes.
Il rayonnait de tendresse dans le soir assombri,
Mon cœur fut à la fois alourdi et fragile.
Le temps semblait un peu trop aride ce soir-là,
Retenant mon souffle bien saccadé,
D’un regard, je cherchais à t’atteindre.
Les battements de mon cœur étaient intenses,
Alors, je rêvais de tes bras afin qu’ils me rassurent,
Pourvu que nos corps se confondent et se fondent.
De cet amour, nous nous sommes tous les deux épris,
Nos gestes, nos baisers sont parfois malhabiles.
Même clandestinement, aimons-nous jusqu’à l’au-delà,
Créons-nous un paradis d’amour pour nous y évader,
Profitons de nos mains et nos corps pour s’étreindre.