Concours : du 21Juillet au 15Août 2024
Résultats : 20Août 2024
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Thème : Auto portrait ( Suggestion de Venezio....Merci à lui )
Soulevez le voile secret qui recouvre votre portrait,
avec humour ou pas, laissez-nous vous découvrir....
Consignes
Écrire au choix en prose ou en alexandrins,
Veillez à l’orthographe, aux concordances des temps,
aux répétitions, à la ponctuation...
Attendre les résultats avant de poster sur votre page, vos poèmes participants au concours.
Vous pouvez m'envoyer 3 poèmes, ainsi qu'un hors concours sur ma MP.
Si vous désirez être juges, en faire la demande sur ma messagerie....Merci
Un bonheur de vous découvrir, à très bientôt.....Lys
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Résultats du concours
Médaille d'Or...........Williamlecornier.......7,93/10
Médaille d'Argent....Raymond3................7,87/10
Médaille de Bronze..Venezio.....................7,60/10
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Bravo ! à tous et toutes, un plus aux médaillés,
à la participation hors concours très humoristique, de Llumièrelive
Amitiés....Lys
Résultats du concours
Médaille d'Or...........Williamlecornier.......7,93/10
Médaille d'Argent....Raymond3................7,87/10
Médaille de Bronze..Venezio.....................7,60/10
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Bravo ! à tous et toutes, un plus aux médaillés,
à la participation hors concours très humoristique, de Llumièrelive
Amitiés....Lys
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Participant(e)s
Angepapillonnanou.......5/10
Émotions vives
Regarder la vie comme un arc-en-ciel,
Aimer les odes, et l’art de la nature,
La beauté, c’est tout ce qui est pur,
Vivre, rêver, rire et aimer, c’est l’essentiel.
Étendre l’écho des voix, de ceux qu’on aime,
Pouvoir admirer inlassablement leurs visages,
Où peuvent se dessiner un subtil sourire sage,
De temps à autre, ils effacent des dilemmes.
Savoir éprouver des diversités d’émotions,
Trouver la force et la raison, face aux épreuves,
Chaque sourire, chaque larme, en sont bien des preuves.
Dans le cœur, tant d’illusions fleurissent,
Alors une source d’espoir vient naître,
Des sentiments profonds se font connaître,
Et dans l’âme, des rêves épanouissent.
Émotion rime avec quoi ? D’après les consignes, prose ou alexandrin demandés
mais fort peu de vos vers sont des alexandrins…
Le thème « auto portrait » me semble absent,
votre poème pourrait s’inscrire sous le thème « émotions »
comme l’indique votre titre
Vous êtes née pour apprécier les véritables valeurs de la vie et savez transformer le négatif en positif...Bravo !
Un bel écrit qui me touche profondément mais vous auriez dû vous impliquer en cet écrit plus personnellement
(manque un vers donc une rime absente avec émotion, ni alexandrin (1), ni prose quel dommage !)
« où peut se dessiner....»
Participant(e)s
Angepapillonnanou.......5/10
Émotions vives
Regarder la vie comme un arc-en-ciel,
Aimer les odes, et l’art de la nature,
La beauté, c’est tout ce qui est pur,
Vivre, rêver, rire et aimer, c’est l’essentiel.
Étendre l’écho des voix, de ceux qu’on aime,
Pouvoir admirer inlassablement leurs visages,
Où peuvent se dessiner un subtil sourire sage,
De temps à autre, ils effacent des dilemmes.
Savoir éprouver des diversités d’émotions,
Trouver la force et la raison, face aux épreuves,
Chaque sourire, chaque larme, en sont bien des preuves.
Dans le cœur, tant d’illusions fleurissent,
Alors une source d’espoir vient naître,
Des sentiments profonds se font connaître,
Et dans l’âme, des rêves épanouissent.
Émotion rime avec quoi ? D’après les consignes, prose ou alexandrin demandés
mais fort peu de vos vers sont des alexandrins…
Le thème « auto portrait » me semble absent,
votre poème pourrait s’inscrire sous le thème « émotions »
comme l’indique votre titre
Vous êtes née pour apprécier les véritables valeurs de la vie et savez transformer le négatif en positif...Bravo !
Un bel écrit qui me touche profondément mais vous auriez dû vous impliquer en cet écrit plus personnellement
(manque un vers donc une rime absente avec émotion, ni alexandrin (1), ni prose quel dommage !)
« où peut se dessiner....»
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Venezio… 6,87/10
Ami intérieur…
Au miroir du matin et du soir
Dans la routine des gestes quotidiens
C’est vrai, je me vois, sans me voir
Soumis, à des pensées en refrain
L’essentiel est passé en revue
Cheveux en ordre autour du crâne d’œuf
Poils rebelles des sourcils, tondus
Et pour la barbe, sabot de, neuf
Une petite rougeur m’attire
Surmontée de sa blanche disgrâce
Mes doigts l’explosent, je respire
Et nettoie, contrarié, la glace
Je me fige au murmure d’un : < hé, toi ! >
Intérieur, certes, qui, poursuit
< À quel point aimes tu ce que tu vois ?
Tu passes en coup de vent, tu te fuis ?
Je t’en prie, arrête toi un peu
Regarde bien qui tu es vraiment
C’est dans la pupille de tes yeux
Approche, un autre toi t’attend
Qui jamais ne se moque, ricane
De tes dents déchaussées, ta bedaine
Nul jugement, encore moins de blâmes
Sur tes doutes et déprimes souveraines
Du sursaut énergique, efficace
À ta mollesse et paresse sidérantes
De ta petite addiction aux face à face
Aux tendresses et caresses aimantes
Il ne sait qu’approuver qui tu es
Valider toutes tes expériences
Il ne rechigne, même pas à tes pets
Sans conditions est sa bienveillance >
Depuis lors, sans air de Narcisse
Me mirant, je finis d’un clin d’œil
À rendre mon esprit plus propice
À voir les bontés du jour, et les écueils...
Selon les consignes : prose ou alexandrins… j’en vois l’absence, mais belles rimes croisées…
toutefois la ponctuation laisse à désirer…
thème bien respecté et malheureusement on ne peut être et avoir été !
Une superbe introspection, sans concession, belle écriture et bonne conclusion.
( Thème respecté, mais ni prose, ni alexandrin ...dommage ! )
***************
Luron 1er.....6,85/10
L'épine de ma prose ne vaut que l’envie de la chose.
Et si aujourd'hui, je me rends à la foire, c'est pour ce concours écrit à ma gloire. J'ai créé une chose que vous ne pouviez trouver, elle est dans ma prose sur laquelle je veux m'élever.
Mais comme cette belle fleur qu'est la rose, des épines à enlever et trouver quelqu'un moins morose, qu'il soit un bon poète et qui écrit à l’en vers. Alors là, je m'y mets en jouant de mes travers.
Et comme l'économe a mis en valeur ce concours, mon idée en est simple, je m'en sers en dessinant les contours, reprenant des écrits tristes mais emprunt de tendresse, mais j’en inverse les termes pour y mettre mes caresses.
Transformer un p’tit malheur en un grand bonheur et les larmes en armes pour ne plus avoir peur.
Surtout amener des rires ou il n'y avait que sourire, et que l'envie de me lire devienne un grand délire.
Il me suffit donc de faire travailler mes méninges pour écrire en amitié en me limitant comme un singe.
Il me faut pour cela mettre de l'amour en humour pour une amitié vers les auteurs originaux pour une lecture au long cours.
C’est l’esprit qui cogite toujours dans ma tête si vide qui me représente en toute humilité.
Venezio… 6,87/10
Ami intérieur…
Au miroir du matin et du soir
Dans la routine des gestes quotidiens
C’est vrai, je me vois, sans me voir
Soumis, à des pensées en refrain
L’essentiel est passé en revue
Cheveux en ordre autour du crâne d’œuf
Poils rebelles des sourcils, tondus
Et pour la barbe, sabot de, neuf
Une petite rougeur m’attire
Surmontée de sa blanche disgrâce
Mes doigts l’explosent, je respire
Et nettoie, contrarié, la glace
Je me fige au murmure d’un : < hé, toi ! >
Intérieur, certes, qui, poursuit
< À quel point aimes tu ce que tu vois ?
Tu passes en coup de vent, tu te fuis ?
Je t’en prie, arrête toi un peu
Regarde bien qui tu es vraiment
C’est dans la pupille de tes yeux
Approche, un autre toi t’attend
Qui jamais ne se moque, ricane
De tes dents déchaussées, ta bedaine
Nul jugement, encore moins de blâmes
Sur tes doutes et déprimes souveraines
Du sursaut énergique, efficace
À ta mollesse et paresse sidérantes
De ta petite addiction aux face à face
Aux tendresses et caresses aimantes
Il ne sait qu’approuver qui tu es
Valider toutes tes expériences
Il ne rechigne, même pas à tes pets
Sans conditions est sa bienveillance >
Depuis lors, sans air de Narcisse
Me mirant, je finis d’un clin d’œil
À rendre mon esprit plus propice
À voir les bontés du jour, et les écueils...
Selon les consignes : prose ou alexandrins… j’en vois l’absence, mais belles rimes croisées…
toutefois la ponctuation laisse à désirer…
thème bien respecté et malheureusement on ne peut être et avoir été !
Une superbe introspection, sans concession, belle écriture et bonne conclusion.
( Thème respecté, mais ni prose, ni alexandrin ...dommage ! )
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Luron 1er.....6,85/10
L'épine de ma prose ne vaut que l’envie de la chose.
Et si aujourd'hui, je me rends à la foire, c'est pour ce concours écrit à ma gloire. J'ai créé une chose que vous ne pouviez trouver, elle est dans ma prose sur laquelle je veux m'élever.
Mais comme cette belle fleur qu'est la rose, des épines à enlever et trouver quelqu'un moins morose, qu'il soit un bon poète et qui écrit à l’en vers. Alors là, je m'y mets en jouant de mes travers.
Et comme l'économe a mis en valeur ce concours, mon idée en est simple, je m'en sers en dessinant les contours, reprenant des écrits tristes mais emprunt de tendresse, mais j’en inverse les termes pour y mettre mes caresses.
Transformer un p’tit malheur en un grand bonheur et les larmes en armes pour ne plus avoir peur.
Surtout amener des rires ou il n'y avait que sourire, et que l'envie de me lire devienne un grand délire.
Il me suffit donc de faire travailler mes méninges pour écrire en amitié en me limitant comme un singe.
Il me faut pour cela mettre de l'amour en humour pour une amitié vers les auteurs originaux pour une lecture au long cours.
C’est l’esprit qui cogite toujours dans ma tête si vide qui me représente en toute humilité.
Répétition concours
Lecture des plus agréables mais le thème reste en suspens,
si ce n’est que vous êtes empreint de poésie
Une prose qui dépeint fort bien l'être généreux que vous êtes,
l'humour est votre moyen poétique de communication, continuez...C'est très plaisant. Thème respecté en partie
Lecture des plus agréables mais le thème reste en suspens,
si ce n’est que vous êtes empreint de poésie
Une prose qui dépeint fort bien l'être généreux que vous êtes,
l'humour est votre moyen poétique de communication, continuez...C'est très plaisant. Thème respecté en partie
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Angepapillonnanou... .5/10
Éclats de mon âme
Un poème j'ai écrit,
Sur celle que j'étais,
Par un matin d'été,
De mon cœur qui crie.
Sans doute des rêveries,
Possédant un peu mon cœur,
Qui réveillent en moi des ardeurs,
Telles de nombreuses égéries.
À travers ces vers je renais,
En rimes, en alexandrins, ou en prose,
Les vers s'éclatent telles des roses,
Des souffles poétiques en sont nés.
Entre les lignes, j'ai glissé ma plume,
Des souffles reflètent des sentiments,
Mon cœur tente de crier au firmament,
Ils sont comblés d'amour et sans amertume.
Non respect de prose ou d’alexandrins, le thème est quelque peu survolé
Un poème sans alexandrin mais fort joli, spontané.
la poésie est votre moteur, mais on aurait aimé en savoir plus...
( étais et été... renais et nés : sons différents )
Angepapillonnanou... .5/10
Éclats de mon âme
Un poème j'ai écrit,
Sur celle que j'étais,
Par un matin d'été,
De mon cœur qui crie.
Sans doute des rêveries,
Possédant un peu mon cœur,
Qui réveillent en moi des ardeurs,
Telles de nombreuses égéries.
À travers ces vers je renais,
En rimes, en alexandrins, ou en prose,
Les vers s'éclatent telles des roses,
Des souffles poétiques en sont nés.
Entre les lignes, j'ai glissé ma plume,
Des souffles reflètent des sentiments,
Mon cœur tente de crier au firmament,
Ils sont comblés d'amour et sans amertume.
Non respect de prose ou d’alexandrins, le thème est quelque peu survolé
Un poème sans alexandrin mais fort joli, spontané.
la poésie est votre moteur, mais on aurait aimé en savoir plus...
( étais et été... renais et nés : sons différents )
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Angepapillonnanou……. 5,94/10
Sous l’Arbre Silencieux
Parfois, j'écoute tout les murmures,
Cloisonnant mon cœur telle une armure,
Résonnant en moi comme entres les murs.
Parmi la nature si belle qui m'accueille,
Assise au pied d'un arbre, je me recueille,
Quelques fines fleurs sauvages je cueille.
Les rayons du soleil me brule la peau,
Et ressentir le temps tellement chaud,
Certes je me fou car tout semble trop beau.
Le zéphyr ne sait plus se faire sentir,
A l'ombre vers la fraicheur, je me retire,
Ne portant presque rien je ne peux me dévêtir.
L’eau ruisselant sur ma peau, pure et légère,
Emportant les soucis, les doutes, les barrières,
Dans les lointains, à travers les airs.
Je m’abandonne à la fraîcheur, à l’instant présent,
Et je me sens libre, comme une feuille au vent,
Comme si le monde entier s’était figé un instant.
Autour de moi dansent des gouttes d’eau,
Chaque éclat de lumière les transforme en joyaux,
Je me sent attiré vers ce joli monde comblé d'idéaux
Prose ou alexandrins étaient demandés, un auto portrait du for intérieur sans doute
Je sens très bien votre âme rêveuse, votre osmose avec la nature
ainsi que le don de transformer le « plomb en or », une vraie poétesse.
Mais quoi d'autre ? je reste sur ma « faim »
(je me fous) ( brûle et fraîcheur: accent circonflexe ) ( entre les murs : sans s ) alexandrin (1)
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Venezio……7,49/10
Sous l’Arbre Silencieux
Parfois, j'écoute tout les murmures,
Cloisonnant mon cœur telle une armure,
Résonnant en moi comme entres les murs.
Parmi la nature si belle qui m'accueille,
Assise au pied d'un arbre, je me recueille,
Quelques fines fleurs sauvages je cueille.
Les rayons du soleil me brule la peau,
Et ressentir le temps tellement chaud,
Certes je me fou car tout semble trop beau.
Le zéphyr ne sait plus se faire sentir,
A l'ombre vers la fraicheur, je me retire,
Ne portant presque rien je ne peux me dévêtir.
L’eau ruisselant sur ma peau, pure et légère,
Emportant les soucis, les doutes, les barrières,
Dans les lointains, à travers les airs.
Je m’abandonne à la fraîcheur, à l’instant présent,
Et je me sens libre, comme une feuille au vent,
Comme si le monde entier s’était figé un instant.
Autour de moi dansent des gouttes d’eau,
Chaque éclat de lumière les transforme en joyaux,
Je me sent attiré vers ce joli monde comblé d'idéaux
Prose ou alexandrins étaient demandés, un auto portrait du for intérieur sans doute
Je sens très bien votre âme rêveuse, votre osmose avec la nature
ainsi que le don de transformer le « plomb en or », une vraie poétesse.
Mais quoi d'autre ? je reste sur ma « faim »
(je me fous) ( brûle et fraîcheur: accent circonflexe ) ( entre les murs : sans s ) alexandrin (1)
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Venezio……7,49/10
Qui regarde qui
Palais des glaces d’un parc d’attraction
D’inédites facettes de soi, à découvrir
Parcours magique garanti de rires
Écarts et grimaces, à profusion
Début du grand défilé déformant
Aïe, de profil, j’ai doublé mon pneu
Plus loin, grosse tête, les yeux globuleux
Ratatiné, et fil de fer aux suivants
Mais voilà qu’au fil des pantomimes
Un sentiment émerge, m’apostrophe
Me renvoie au qui suis-je, philosophe
Sur un gros plan du visage, magnanime
Au final qui regarde, qui se joue ?
Un autre que moi est dans les pupilles
Ombre silencieuse, amusée de ma bille
Avec mes poils clairsemés au caillou
Et il n’a cure de mon sourire
Certes, de bourrin, à la jaunisse aux dents
Reste stoïque, mais pour sûr, bienveillant
Il est pilote de mon âme et me tire
À voir l’illusion des apparences
De laisser aux commandes le cœur
Qui se délecte, s’élève du bonheur
De l’amour de soi en toutes circonstances .
Prose ou en alexandrin selon les consignes…ponctuation à revoir…
Bien dans le thème et porte à méditer…
Superbe titre Ni prose, ni alexandrin (1) mais une magnifique description de vous-même,
dotée d'un humour très subtil...Bravo ! Belle écriture
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Palais des glaces d’un parc d’attraction
D’inédites facettes de soi, à découvrir
Parcours magique garanti de rires
Écarts et grimaces, à profusion
Début du grand défilé déformant
Aïe, de profil, j’ai doublé mon pneu
Plus loin, grosse tête, les yeux globuleux
Ratatiné, et fil de fer aux suivants
Mais voilà qu’au fil des pantomimes
Un sentiment émerge, m’apostrophe
Me renvoie au qui suis-je, philosophe
Sur un gros plan du visage, magnanime
Au final qui regarde, qui se joue ?
Un autre que moi est dans les pupilles
Ombre silencieuse, amusée de ma bille
Avec mes poils clairsemés au caillou
Et il n’a cure de mon sourire
Certes, de bourrin, à la jaunisse aux dents
Reste stoïque, mais pour sûr, bienveillant
Il est pilote de mon âme et me tire
À voir l’illusion des apparences
De laisser aux commandes le cœur
Qui se délecte, s’élève du bonheur
De l’amour de soi en toutes circonstances .
Prose ou en alexandrin selon les consignes…ponctuation à revoir…
Bien dans le thème et porte à méditer…
Superbe titre Ni prose, ni alexandrin (1) mais une magnifique description de vous-même,
dotée d'un humour très subtil...Bravo ! Belle écriture
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Wiliamlecornier …..7,93/10
Amitiés sincères.
Si tu veux être heureux, fais ce qui mieux te semble ;
Me disent les copains lorsqu'ils parlent de moi ;
Tout en me conseillant, j'ai le cœur en émoi ;
Prudence et modestie m'emporte et ma voix tremble.
Grâce au lien sacré qui nous unit ensemble ;
En tant que vrais amis, en toute bonne foi ;
C'est un bien précieux, s'il est de bonne aloi.
Il apporte un bien-être et ainsi nous rassemble.
Là où règne l'amour dans la sérénité,
Sous les rires d'enfants, avec de la santé ;
Dans un futur nouveau dans un ciel sans orage.
Vers un monde de paix, de joie et de bonheur
Sans animosité, sans race et ni couleur ;
Loin de tous les conflits où la guerre fait rage.
Bravo, de beaux alexandrins qui rendent la forme très harmonieuse.. par contre assez loin de l’auto portrait demandé…
Bravo ! Un sans faute pour les alexandrins
Une grande chaleur se dégage de votre écrit, ainsi que l'amour
des enfants surpassant les tumultes actuels, ils sont le phare de l'avenir.
( bon aloi : masculin )
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Venezio....7,60/10
Médaille de Bronze
8) Reflets complices
Oh, miroir, mon beau miroir
Alternant en toute bonne foi
Un côté face sans faire valoir
Et le revers qui me fait plus gras
Tu réfléchis mon étonnement
Telle une apparition magique
Aux petits yeux doux et pétillants
Chamarrés de couleurs, d’optiques
Ah, ce grand chahut des neurones
Affairés à étudier l’image
Reconnaître, zone par zone
Le Quidam bravant le mirage
Certes, non, les quelques antennes
Érigées sur mon mont pelé
Me rappellent bien l’âge de ma couenne
Que les rotules coincent à grincer
Et encore plus, si d’un sourire
J’offre mon panorama chevalin
Déchaussements, émail qui vire
Mais de charme, il en reste un brin
Car le Cœur est joyeux, reconnaissant
Des hauts, des bas, des apprentis sages
D’avoir tant reçu, l’émerveillement
Pour ce monde où je suis en voyage
Alexandrins ou prose…non respectés et ponctuation insuffisante…
Mais bien dans le thème ces reflets de l’âge !
Même si ni prose, ni alexandrin, un grand plaisir de vous lire. Mon ressenti : vous avez su jusqu'à maintenant le prix, de cette aventure qu'est la vie...Quelle sagesse ! ( foi et gras: sons différents)
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Raymond 3......7,87/10
Médaille d'Argent
Visite immersive
Par le cerveau l’entrée en matière se fait
Évidence du haut et du bas surnom Boss
Un torrent de douceur une main ferme il bosse
Autodidacte mûr, il va toujours au faîte.
Parti conquérir les océans sans billets
Il a goûté les fruits, il a roulé sa bosse
Affrontant les tempêtes et ouragans féroces
Célébrant les glorieuses sur le feuillet.
Vent en proue, il vient en aide aux plus démunis
Sacs- poubelle, bénévole au chant des cigales
Il nettoie la berge, et ses amis réunis.
Taillé dans le métal avec un cœur doux tendre
C’est dans beauté des choses qu’il communie
Cette soif continuelle toujours apprendre
Dommage, « cigales » reste sans rime, « sans billet » aucun donc singulier
Presque sans faute pour les alexandrins…un auto portrait du for intérieur
Beau sonnet, on a frôlé le presque parfait en alexandrins....
de belles rimes, un homme direct, au grand cœur émerge de votre écrit.
Apprendre quelle belle chose !
(sans billet : singulier )
***************
Micky02.....7,11/10
Autoportrait d'un Ange
Dans les cieux étoilés d'un azur infini,
Un être de lumière, un ange incandescent,
Dévoile sa beauté, d'un éclat diligent,
Autoportrait céleste, exquis et béni.
Ses ailes diaphanes, aux plumes scintillantes,
Palpitent en silence, auréolées de paix,
Dans l'éther éthéré, le regard couronné,
D'un halo de splendeur, source d'une douce attente.
Son regard d'azur pur, miroir de l'éternité,
Révèle l'âme pure, en quête de vérité,
Ses mains comme des lys, symboles de pureté,
Effleurent l'infini, en tendre volupté.
Sa voix résonne douce, telle une mélodie,
Qui caresse l'air pur, d'une divine harmonie,
Chant d'amour éternel, écho de la symphonie,
Qui unit les vivants, dans une même allégresse infinie.
Autoportrait d'un ange, fresque immortelle,
D'une transcendance rare, d'une grâce éternelle,
Dans l'éclat de sa gloire, éblouissante étincelle,
Il incarne la pureté, en une forme réelle.
Cet être de lumière, dans sa tranquille apesanteur,
Rayonne d'une aura, empreinte de douceur,
Symbole de bonté, icône de chaleur,
L'ange se révèle en ce sublime labeur.
Ainsi se dessine, en traits de pureté,
L'autoportrait céleste, d'un ange tant aimé,
Dans le silence des cieux, une éternelle clarté,
D'une splendeur divine, l'ange se laisse contempler.
« paix » son è, ai « couronné » son é
Alexandrins à peu près parfaits ; très poétique mais pas tout à fait dans les consignes…
soulevez le voile secret qui recouvre votre portrait
Même si ce n'est pas votre portrait, sa pureté m'a touché en vous lisant, cet ange vous a inspiré, merci pour cet écrit, moment de paix et d'amour... Sa présence, continuera de rayonner sur notre site de poésie... ( même s'il manque des alexandrins,splendide poésie.) Belles rimes. ( paix et couronné : sons différents )
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Hors concours
Un bien curieux critère de beauté.......LLumierelive
Je figure d’une imposante et énorme tête à l’envers, disproportionnée vis-à-vis du reste de mon corps, comme si ma boîte crânienne pouvait enfermer tout un stock de données omniscientes…Malheureusement lorsque je la secoue, j’entends résonner un bruit de grelot comme celui d’un pois chiche totalement desséché qui heurterait les os de ma caboche…Amitiés sincères.
Si tu veux être heureux, fais ce qui mieux te semble ;
Me disent les copains lorsqu'ils parlent de moi ;
Tout en me conseillant, j'ai le cœur en émoi ;
Prudence et modestie m'emporte et ma voix tremble.
Grâce au lien sacré qui nous unit ensemble ;
En tant que vrais amis, en toute bonne foi ;
C'est un bien précieux, s'il est de bonne aloi.
Il apporte un bien-être et ainsi nous rassemble.
Là où règne l'amour dans la sérénité,
Sous les rires d'enfants, avec de la santé ;
Dans un futur nouveau dans un ciel sans orage.
Vers un monde de paix, de joie et de bonheur
Sans animosité, sans race et ni couleur ;
Loin de tous les conflits où la guerre fait rage.
Bravo, de beaux alexandrins qui rendent la forme très harmonieuse.. par contre assez loin de l’auto portrait demandé…
Bravo ! Un sans faute pour les alexandrins
Une grande chaleur se dégage de votre écrit, ainsi que l'amour
des enfants surpassant les tumultes actuels, ils sont le phare de l'avenir.
( bon aloi : masculin )
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Venezio....7,60/10
Médaille de Bronze
8) Reflets complices
Oh, miroir, mon beau miroir
Alternant en toute bonne foi
Un côté face sans faire valoir
Et le revers qui me fait plus gras
Tu réfléchis mon étonnement
Telle une apparition magique
Aux petits yeux doux et pétillants
Chamarrés de couleurs, d’optiques
Ah, ce grand chahut des neurones
Affairés à étudier l’image
Reconnaître, zone par zone
Le Quidam bravant le mirage
Certes, non, les quelques antennes
Érigées sur mon mont pelé
Me rappellent bien l’âge de ma couenne
Que les rotules coincent à grincer
Et encore plus, si d’un sourire
J’offre mon panorama chevalin
Déchaussements, émail qui vire
Mais de charme, il en reste un brin
Car le Cœur est joyeux, reconnaissant
Des hauts, des bas, des apprentis sages
D’avoir tant reçu, l’émerveillement
Pour ce monde où je suis en voyage
Alexandrins ou prose…non respectés et ponctuation insuffisante…
Mais bien dans le thème ces reflets de l’âge !
Même si ni prose, ni alexandrin, un grand plaisir de vous lire. Mon ressenti : vous avez su jusqu'à maintenant le prix, de cette aventure qu'est la vie...Quelle sagesse ! ( foi et gras: sons différents)
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Raymond 3......7,87/10
Médaille d'Argent
Visite immersive
Par le cerveau l’entrée en matière se fait
Évidence du haut et du bas surnom Boss
Un torrent de douceur une main ferme il bosse
Autodidacte mûr, il va toujours au faîte.
Parti conquérir les océans sans billets
Il a goûté les fruits, il a roulé sa bosse
Affrontant les tempêtes et ouragans féroces
Célébrant les glorieuses sur le feuillet.
Vent en proue, il vient en aide aux plus démunis
Sacs- poubelle, bénévole au chant des cigales
Il nettoie la berge, et ses amis réunis.
Taillé dans le métal avec un cœur doux tendre
C’est dans beauté des choses qu’il communie
Cette soif continuelle toujours apprendre
Dommage, « cigales » reste sans rime, « sans billet » aucun donc singulier
Presque sans faute pour les alexandrins…un auto portrait du for intérieur
Beau sonnet, on a frôlé le presque parfait en alexandrins....
de belles rimes, un homme direct, au grand cœur émerge de votre écrit.
Apprendre quelle belle chose !
(sans billet : singulier )
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Micky02.....7,11/10
Autoportrait d'un Ange
Dans les cieux étoilés d'un azur infini,
Un être de lumière, un ange incandescent,
Dévoile sa beauté, d'un éclat diligent,
Autoportrait céleste, exquis et béni.
Ses ailes diaphanes, aux plumes scintillantes,
Palpitent en silence, auréolées de paix,
Dans l'éther éthéré, le regard couronné,
D'un halo de splendeur, source d'une douce attente.
Son regard d'azur pur, miroir de l'éternité,
Révèle l'âme pure, en quête de vérité,
Ses mains comme des lys, symboles de pureté,
Effleurent l'infini, en tendre volupté.
Sa voix résonne douce, telle une mélodie,
Qui caresse l'air pur, d'une divine harmonie,
Chant d'amour éternel, écho de la symphonie,
Qui unit les vivants, dans une même allégresse infinie.
Autoportrait d'un ange, fresque immortelle,
D'une transcendance rare, d'une grâce éternelle,
Dans l'éclat de sa gloire, éblouissante étincelle,
Il incarne la pureté, en une forme réelle.
Cet être de lumière, dans sa tranquille apesanteur,
Rayonne d'une aura, empreinte de douceur,
Symbole de bonté, icône de chaleur,
L'ange se révèle en ce sublime labeur.
Ainsi se dessine, en traits de pureté,
L'autoportrait céleste, d'un ange tant aimé,
Dans le silence des cieux, une éternelle clarté,
D'une splendeur divine, l'ange se laisse contempler.
« paix » son è, ai « couronné » son é
Alexandrins à peu près parfaits ; très poétique mais pas tout à fait dans les consignes…
soulevez le voile secret qui recouvre votre portrait
Même si ce n'est pas votre portrait, sa pureté m'a touché en vous lisant, cet ange vous a inspiré, merci pour cet écrit, moment de paix et d'amour... Sa présence, continuera de rayonner sur notre site de poésie... ( même s'il manque des alexandrins,splendide poésie.) Belles rimes. ( paix et couronné : sons différents )
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Hors concours
Un bien curieux critère de beauté.......LLumierelive
Je suis velue comme une chenille mais cependant dépourvue de tignasse. J’ai une taille de guêpe mais juste après, mon abdomen est bien gras et joufflu, mes bras et mes jambes ressemblent à de très fines tentacules, mon teint est illuminé de fistules rosâtres, parsemé de veinules violâtres et bien accentuées.
Je suis dotée d’un court cou, mes esgourdes sont fines comme des lames de rasoir et dépourvues de pavillon mais cependant j’aime à penser que j’ai l’oreille absolue !
Mon œil gauche fuit le droit et le droit fuit le gauche, ils sont globuleux tous les deux, l’un rouge et l’autre vert caca d’oie.
Mon front large et haut devrait à lui seul révéler mon intelligence, il est tout bosselé mais je dois vous avouer que je ne possède ni la bosse des maths ni celle du commerce !
Mon nez est bizarroïde et laisse une énigme quant à ma provenance et je me demande si je n’ai pas été croisée avec un tubercule de topinambour…
Des lèvres nullement à la mode, c'est-à-dire comme celles d’un ruminent préhistorique ou hippopotamesque, juste une fente, un simple trait t…
Mes deux mains sont gauches et je suis dépourvue de bras droit, mes attraits mammaires sont imparfaits : un sain sein au milieu de la colonne vertébrale, au niveau de la cinquième lombaire et un sein pas saint logé dans le creux ombilical, une fesse molle et une fesse affaissée, des pieds bots pas beaux, heureusement que je n’ai pas hérité de ma génitrice, du gauche elle chaussait du 47 fillette et de l’autre du 35…pas facile de trouver une paire de tatanes à sa taille !
J’ai également une guibole bien plus longue que l’autre et l’autre bien plus courte que l’une et pour trouver mon équilibre ce n’est guère aisé, voilà pourquoi je me casse la margoulette à tout venant ! De plus mes genoux sont désarticulés et peuvent effectuer des rotations à 360°et plus !
Me laisse plus qu’à vous relater mes organes internes…
Ne parlons pas de mon cerveau lent ni de mon cerveau laid !
J’ai un cœur gros et dur comme pierre et qu’on ne pourrait qualifié de cœur d’artichaut, mes poumons sont asséchés et ressemblent à des ballons de baudruches en voie de crevaison d’où s’émanent des sifflements mortifères et fantasmagoriques…
Mes intestins émettent via mon pot d’échappement des gargouillis incongrus et d’arômes pestilentiels, malgré une dilatation de la rate, j’ai l’estomac dans les talons …Quant à ma vessie elle est en fuite, telles les chutes du Niagara…
Ma voix est aiguë et roque à la fois et mon foie reste sans foi.
Je me demande souvent pourquoi je suis restée célibataire, alors que tous les hommes et toutes les femmes restent ébahis devant mon physique, ils se retournent tous sur mon passage…ils doivent être jaloux de ma beauté pardi !
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Visage pâle........ Zuc
tu stresses tant que tu peux
tu stresses sans que tu veux
tu stresses au jour le jour au moindre coup de vent
mains tendues sur le volant
doigts tremblant sur le clavier
œil jaune devant l'écran
tu stresses comme un fou
estomac noué en te couchant
cœur haletant au moindre mouvement
plus de sport, trop d'alcool, tu fumes,
et devant le miroir, tu grimaces aux premier cheveux blanc
ta calvitie naissante dresse le bilan
bilan financier,
bilan affectif
débile en sorte, débile en soi
débile en sorte, débile en toi
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Comment vous dire........Lys
J'ai dans la tête des terres et des océans,
Des soleils et terribles rafales de vent,
Des oiseaux de paradis aux ailes brûlées
Aux voix inaudibles tellement éraillées...
Je suis l'ombre d'un espoir à jamais enfui,
Lorsque le soleil ensanglanté défie la nuit,
Se reflète sur l'eau, où chantent les étoiles,
J'entre en son royaume tapissé de voiles...
Bienheureusement la dentelle du ciel bleu,
Ses explosions d'or sur mes roses en feu,
Font vibrer la corde d'un violon caché,
Celle d'un cœur que je croyais abandonné...
S'est estompée la grisaille qui m'entourait,
Mon âme se mêle aux effluves de l'air frais,
Je me surprends à chanter cette joie de vivre
Et communie avec la flore qui m'enivre...
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