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Doux souvenirs

anemone

Maître Poète
#1
Elle n'a pas changé mais combien différente
Hier si animée aujourd'hui à louer
Avec ses volets verts la maison en meulière
Arbore fière allure au poids des années

C'est qu'elle en a connu des cavalcades d'enfants
Sans jamais se plaindre elle a tout supporté
Grignotées par l'arthrose ses marches ont souffert
Lors de courses effrénées dans les escaliers

Une merveilleuse alliée pour jouer à cache cache
Que de coins et recoins toujours à explorer
Sans parler du hangar aux hautes piles de bois
Jugé dangereux défense d'y pénétrer

Les jours de pluie une excellente aubaine
Pour une chasse au trésor là haut dans le grenier
Dans une malle en osier, un jupon déchiré, un rideau
Pour se déguiser quels jolis oripeaux

Au premier étage derrière la vitre close
Sur lequel le temps n'a eu aucune emprise
Le visage d'une femme d'une extrême bonté
Car dans une âme d'enfant jamais ne meurt la fée

Maman douceur maman bonheur
Maman on rit peu d'interdits
Sur la joue baisers magiques
Sèchent les larmes hier mais pas aujourd'hui

Alors Je suis partie sans me retourner
Tenant par la main cette petite fille si sage
Emportant avec elle un livre plein d'images
D'un passé de rêves bleus celui de son enfance

 
#5
Un beau poème couvert d'amour,
de souvenirs tendres, et même
toutes les sensations en parfums
révelle les pétales d'une fleur
qui tombent un à un sur maison
éclos!

Merci Anémone ces émotions
sortant de la source!

Bises, Poly
 
#9
Elle n'a pas changé mais combien différente
Hier si animée aujourd'hui à louer
Avec ses volets verts la maison en meulière
Arbore fière allure au poids des années

C'est qu'elle en a connu des cavalcades d'enfants
Sans jamais se plaindre elle a tout supporté
Grignotées par l'arthrose ses marches ont souffert
Lors de courses effrénées dans les escaliers

Une merveilleuse alliée pour jouer à cache cache
Que de coins et recoins toujours à explorer
Sans parler du hangar aux hautes piles de bois
Jugé dangereux défense d'y pénétrer

Les jours de pluie une excellente aubaine
Pour une chasse au trésor là haut dans le grenier
Dans une malle en osier, un jupon déchiré, un rideau
Pour se déguiser quels jolis oripeaux

Au premier étage derrière la vitre close
Sur lequel le temps n'a eu aucune emprise
Le visage d'une femme d'une extrême bonté
Car dans une âme d'enfant jamais ne meurt la fée

Maman douceur maman bonheur
Maman on rit peu d'interdits
Sur la joue baisers magiques
Sèchent les larmes hier mais pas aujourd'hui

Alors Je suis partie sans me retourner
Tenant par la main cette petite fille si sage
Emportant avec elle un livre plein d'images
D'un passé de rêves bleus celui de son enfance

Magnifique poème,
anemone quand la nostalgie s'habille de cette manière je la trouve voluptueuse :)
 

anemone

Maître Poète
#10
Merci pour ces beaux souvenirs qui en rappellent tant d'autres
Amicalement
Gaby
Elle n'a pas changé mais combien différente
Hier si animée aujourd'hui à louer
Avec ses volets verts la maison en meulière
Arbore fière allure au poids des années

C'est qu'elle en a connu des cavalcades d'enfants
Sans jamais se plaindre elle a tout supporté
Grignotées par l'arthrose ses marches ont souffert
Lors de courses effrénées dans les escaliers

Une merveilleuse alliée pour jouer à cache cache
Que de coins et recoins toujours à explorer
Sans parler du hangar aux hautes piles de bois
Jugé dangereux défense d'y pénétrer

Les jours de pluie une excellente aubaine
Pour une chasse au trésor là haut dans le grenier
Dans une malle en osier, un jupon déchiré, un rideau
Pour se déguiser quels jolis oripeaux

Au premier étage derrière la vitre close
Sur lequel le temps n'a eu aucune emprise
Le visage d'une femme d'une extrême bonté
Car dans une âme d'enfant jamais ne meurt la fée

Maman douceur maman bonheur
Maman on rit peu d'interdits
Sur la joue baisers magiques
Sèchent les larmes hier mais pas aujourd'hui

Alors Je suis partie sans me retourner
Tenant par la main cette petite fille si sage
Emportant avec elle un livre plein d'images
D'un passé de rêves bleus celui de son enfance