Dis à tes poèmes,
de prendre une pause
D’un mois…tes poèmes sont devenus coloniaux
Comme un solda qui cours, à pieds nus, derrière moi
Et qui danse, Laisses tomber les rideaux sur moi
Car je ne sais pas si le jour est un jour Féroce,
autoritaire ou s’il n’accepte pas des excuses
Ça, c’est la belle lune… je la refuse,
je la déteste, mais j’ai la embrassé avec volonté
Dis à tes poèmes de s’écarter pour que j’aperçois tes étoiles
de prendre une pause
D’un mois…tes poèmes sont devenus coloniaux
Comme un solda qui cours, à pieds nus, derrière moi
Et qui danse, Laisses tomber les rideaux sur moi
Car je ne sais pas si le jour est un jour Féroce,
autoritaire ou s’il n’accepte pas des excuses
Ça, c’est la belle lune… je la refuse,
je la déteste, mais j’ai la embrassé avec volonté
Dis à tes poèmes de s’écarter pour que j’aperçois tes étoiles