Si de votre nuit j’étais la bergère
Du troupeau des blancs moutons
Indisciplinés à tourner en rond
Leur grégaire pour votre ennui
D’un endormi au tant précaire
J’aurais l’attentionné savoir-faire
D’un seul baiser à les conduire
Tous, dans l’enclos de votre nuit
D’un seul baiser à les aligner
Tous, en ordre facile à compter
De un jusqu’à l’éternité
D’un seul baiser tout à leur dire
Force du premier pas à suivre
Tous, à sauter l’imaginaire barrière
Avec une telle amoureuse agilité
Que de sommeil, vous en tomberiez
Sans avoir même à les compter
Du troupeau des blancs moutons
Indisciplinés à tourner en rond
Leur grégaire pour votre ennui
D’un endormi au tant précaire
J’aurais l’attentionné savoir-faire
D’un seul baiser à les conduire
Tous, dans l’enclos de votre nuit
D’un seul baiser à les aligner
Tous, en ordre facile à compter
De un jusqu’à l’éternité
D’un seul baiser tout à leur dire
Force du premier pas à suivre
Tous, à sauter l’imaginaire barrière
Avec une telle amoureuse agilité
Que de sommeil, vous en tomberiez
Sans avoir même à les compter