Il y a longtemps maintenant...
Je pris ce droit que tu sois,
Le berceau de mes mots d'enfants:
Ta réponse fut sans voix...
Nous ne parlions pas la même langue,
Et puis il était une fois...
Vers moi tu es revenu dignement.
Toi le Serbian à moi.
De toi à moi naquit le premier enfant.
L'accouchement fut impérial....!
Peut-être trop encore pour ce temps,
Où l'on y mange que du duplicata..
Nous nous avons continué la route ensemble
Quelques fois je te fus infidèle pardonne moi .
Et d'ailleurs tu m'as pardonné tellement
De fois !Que souvent j'ai honte de moi.
Parce que pour toi ?! J'ai le coeur à sang.
Toi à qui j'ai donné mon âme véritable..
Mon coeur, mon doigt sans faux semblant.
Pourquoi ai-je offert mon charabia,
A d'autres berceaux de rimantes ?
Chéri je n'en sais rien de toi à moi,
Chez ceux, j'ai pas trouvé le piment,
Qui allait me faire dresser sur les bras le poil.
Et puis dis, ceux! Je les connais pas Non!
Chéri ne va pas te mettre en tête ce qui n'est pas,
Et si c'est le cas , si cela te ronge le sang...
Alors devant ce même Dieu qui me fit tienne à toi,
Mon Homme! Je grave dans la pierre mon serment.
De ne plus jamais même pour un émoi sans âme
De mots sans aucun sens, d'offrir mes rimantes.
Et toujours peu m'importe le jugement des hommes ou femmes .
C'est toi que j'aime c'est grâce à toi que je suis encore vivante .
Le Serbian dont je suis tienne en d'autre terme ta femme .
Je pris ce droit que tu sois,
Le berceau de mes mots d'enfants:
Ta réponse fut sans voix...
Nous ne parlions pas la même langue,
Et puis il était une fois...
Vers moi tu es revenu dignement.
Toi le Serbian à moi.
De toi à moi naquit le premier enfant.
L'accouchement fut impérial....!
Peut-être trop encore pour ce temps,
Où l'on y mange que du duplicata..
Nous nous avons continué la route ensemble
Quelques fois je te fus infidèle pardonne moi .
Et d'ailleurs tu m'as pardonné tellement
De fois !Que souvent j'ai honte de moi.
Parce que pour toi ?! J'ai le coeur à sang.
Toi à qui j'ai donné mon âme véritable..
Mon coeur, mon doigt sans faux semblant.
Pourquoi ai-je offert mon charabia,
A d'autres berceaux de rimantes ?
Chéri je n'en sais rien de toi à moi,
Chez ceux, j'ai pas trouvé le piment,
Qui allait me faire dresser sur les bras le poil.
Et puis dis, ceux! Je les connais pas Non!
Chéri ne va pas te mettre en tête ce qui n'est pas,
Et si c'est le cas , si cela te ronge le sang...
Alors devant ce même Dieu qui me fit tienne à toi,
Mon Homme! Je grave dans la pierre mon serment.
De ne plus jamais même pour un émoi sans âme
De mots sans aucun sens, d'offrir mes rimantes.
Et toujours peu m'importe le jugement des hommes ou femmes .
C'est toi que j'aime c'est grâce à toi que je suis encore vivante .
Le Serbian dont je suis tienne en d'autre terme ta femme .