Sont-ce t'ils parfumés, ses dessous,
Sont-ce t'ils parfumés, d'un musc aérien,
D'arôme, d'organza ; quand la chère frivole
Les revêt tout de blanc, de rouge d'une obole
De suaire se meut muette alors ma main ;
Ce charme étincelant, mythe grégorien
Fascine les plus grands, et tour à tour s'envole
De ce corps qui les vêt, d'un luxueux symbole
Ses sensuels désirs, dont aucun ne sait rien,
Et ce choix aussi beau, que sa stature fine
S'en fait, de leur secret, quand s'allonge divine
Sa cuisse devant moi, cet atout de beauté,
Parlez moi, fins dessous, de porte-jarretelles,
Ô guêpière, d'orgueil, soutenant ces bretelles,
Dont je serais l'amant de cette primauté...
Daniel Beau le poète rêveur
09 octobre 2017
Inknotpad
Google Chrome
18:53
Sont-ce t'ils parfumés, d'un musc aérien,
D'arôme, d'organza ; quand la chère frivole
Les revêt tout de blanc, de rouge d'une obole
De suaire se meut muette alors ma main ;
Ce charme étincelant, mythe grégorien
Fascine les plus grands, et tour à tour s'envole
De ce corps qui les vêt, d'un luxueux symbole
Ses sensuels désirs, dont aucun ne sait rien,
Et ce choix aussi beau, que sa stature fine
S'en fait, de leur secret, quand s'allonge divine
Sa cuisse devant moi, cet atout de beauté,
Parlez moi, fins dessous, de porte-jarretelles,
Ô guêpière, d'orgueil, soutenant ces bretelles,
Dont je serais l'amant de cette primauté...
Daniel Beau le poète rêveur
09 octobre 2017
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