Autrefois ravissante Hortense , et pour vous
J'ai composé, choisi des mots d'une belle eau
Semblables aux diamants et créer un monceau
De bijoux, exaltant la blancheur de votre cou
Je pensais à vos grands yeux noir velours
J'habillais de ciel mes vers d'un chant d'Amour
Votre rire de cristal comme une cascade s'élévait
Se mêlant à vos cheveux soigneusement frisés
Un douce brise fredonnait l'ode à la Beauté
Que le troubadour honorait, penché sur sa mandole
Chacun des mots était en forme d'une corolle
Dans son entier le poème était fleurs en bouquet
Déposé à vos pieds en musicalité et charmant l'ouie
Je torturais ma muse et jugeai de sa grâce vermeille
Votre taille attirait les galants, vous serinant de niaiseries
Je vous fit don de l'oeuvre de mes nuits sans sommeil
Un oeil fatigué déroula le lai, lire vous abîmait la vue
"Pour l'heure, je garde le discours de votre plume à mes côtés"
Le déposant sur le tapis, je tus mon désarroi, les mots s'envolaient
Mon coeur et mon âme à vos pieds, ne marchez pas dessus
Réduisant l'hommage d'un coeur troublé en charpie
Et le parchemin fleuri, plein de fougue, brûlants de mots
Je m'en suis retourné arrachant la fatale épine de détresse
Le feu est mort dans l'âtre, je vent se lève en ce jour si gris
Quel espoir peut encore abriter mon être sans Vous, Maîtresse? ....
J'ai composé, choisi des mots d'une belle eau
Semblables aux diamants et créer un monceau
De bijoux, exaltant la blancheur de votre cou
Je pensais à vos grands yeux noir velours
J'habillais de ciel mes vers d'un chant d'Amour
Votre rire de cristal comme une cascade s'élévait
Se mêlant à vos cheveux soigneusement frisés
Un douce brise fredonnait l'ode à la Beauté
Que le troubadour honorait, penché sur sa mandole
Chacun des mots était en forme d'une corolle
Dans son entier le poème était fleurs en bouquet
Déposé à vos pieds en musicalité et charmant l'ouie
Je torturais ma muse et jugeai de sa grâce vermeille
Votre taille attirait les galants, vous serinant de niaiseries
Je vous fit don de l'oeuvre de mes nuits sans sommeil
Un oeil fatigué déroula le lai, lire vous abîmait la vue
"Pour l'heure, je garde le discours de votre plume à mes côtés"
Le déposant sur le tapis, je tus mon désarroi, les mots s'envolaient
Mon coeur et mon âme à vos pieds, ne marchez pas dessus
Réduisant l'hommage d'un coeur troublé en charpie
Et le parchemin fleuri, plein de fougue, brûlants de mots
Je m'en suis retourné arrachant la fatale épine de détresse
Le feu est mort dans l'âtre, je vent se lève en ce jour si gris
Quel espoir peut encore abriter mon être sans Vous, Maîtresse? ....
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