Seule,
Dans sa tour,
Derrière ces murs épais,
Son désespoir,
Grandissant en chaque instant,
Finirait, tôt ou tard,
Par la noyer dans son chagrin.
Les murs reflétant
Son coeur hermétique,
Silencieux d'avoir tant souffert
D'avoir fait semblant de vivre
Pour l'amour d'un père absent,
Et l'autoritée d'une mère haïssante.
De tant de souffrance,
La princesse se mourant,
Seule désira demeurer,
pour l'éternité durant,
Dans cetête tour,cloitrée,cachée
Derrière ses murs opaques,
opaques du sang qui de ses veines,
A couler
Dans sa tour,
Derrière ces murs épais,
Son désespoir,
Grandissant en chaque instant,
Finirait, tôt ou tard,
Par la noyer dans son chagrin.
Les murs reflétant
Son coeur hermétique,
Silencieux d'avoir tant souffert
D'avoir fait semblant de vivre
Pour l'amour d'un père absent,
Et l'autoritée d'une mère haïssante.
De tant de souffrance,
La princesse se mourant,
Seule désira demeurer,
pour l'éternité durant,
Dans cetête tour,cloitrée,cachée
Derrière ses murs opaques,
opaques du sang qui de ses veines,
A couler