Poème: De toi à moi
Quand j’ai ouï dire qu’en pays Dioula
Une princesse à l’allure de femme impala
Faisait les beaux jours de la citadelle
Cependant, nul prince, devant elle
Ne trouvait la plus petite grâce
Pour ne pas suivre leurs traces
Je vins à elle avec ma poésie
Avec des vers empreints de fantaisie
Princesse ! Lui dis-je, J’ai défié Bamako
J’ai défié l’âpreté de la forêt du Banco
Pour à tes pieds, déposer les clés de mon cœur
Abdiquant ainsi, mais pour être vainqueur
Pour ne point être tels ces rois conquérants
Ou comme ces souverains exubérants
Qui collectionnèrent tant de victoires
Pour finir au milieu d’une tour d’ivoire
Car oubliant d’aimer et d’être aimé
Princesse ! Je t’appelle Aimée
Car de toi jaillit la source
Dans laquelle je me ressource
Et dont les eaux, de toi à moi, coulent
Aimée ! Tout passe, tout s’écoule
Mais ta source intarissable, demeure
Ainsi que son clapotis et sa douce clameur
Comme si des Chérubins de leurs tambours
Nous, chantaient l’hymne à l’Amour
Quand j’ai ouï dire qu’en pays Dioula
Une princesse à l’allure de femme impala
Faisait les beaux jours de la citadelle
Cependant, nul prince, devant elle
Ne trouvait la plus petite grâce
Pour ne pas suivre leurs traces
Je vins à elle avec ma poésie
Avec des vers empreints de fantaisie
Princesse ! Lui dis-je, J’ai défié Bamako
J’ai défié l’âpreté de la forêt du Banco
Pour à tes pieds, déposer les clés de mon cœur
Abdiquant ainsi, mais pour être vainqueur
Pour ne point être tels ces rois conquérants
Ou comme ces souverains exubérants
Qui collectionnèrent tant de victoires
Pour finir au milieu d’une tour d’ivoire
Car oubliant d’aimer et d’être aimé
Princesse ! Je t’appelle Aimée
Car de toi jaillit la source
Dans laquelle je me ressource
Et dont les eaux, de toi à moi, coulent
Aimée ! Tout passe, tout s’écoule
Mais ta source intarissable, demeure
Ainsi que son clapotis et sa douce clameur
Comme si des Chérubins de leurs tambours
Nous, chantaient l’hymne à l’Amour