DE T'AVOIR PERDU...
(duo avec mon ami Gavroche)
(duo avec mon ami Gavroche)
La nuit venait de tirer sa révérence,
Lorsque le Ciel a décidé de t'enlever.
Ma souffrance, je l'ai fait taire dans mon silence,
Pensant que personne ne comprendrait ma peine causée
Je devenais comme une étoile qui brillait
Je me montrais de loin mais me taisais
jamais on a entendu un seul astre pleurer
pourtant parfois mes yeux s'illuminaient
J'ai beau te chercher, je ne te vois pas
Pourquoi ne pas prendre mon âme et te rejoindre ?
J'ai si mal, je souffre tant sans toi près de moi
Mon cœur se meurt sans ton corps pour m'étreindre
Je suis là une fleur sans son odeur, sans parfum
les abeilles quand il me voit change de chemin
Je suis là pour décorer une pauvre maison sans âme
Les jours passent et discrètement avec l'amertume je fane
J'ai eu l'impression que ta présence était tout près
Lorsque je m'endors, noyée dans un torrent de larmes
La beauté des temps passés que souvent tu admirais
Fût mort, par la douleur de t'avoir perdu, sous les flammes
Comme le ciel est beau quand je te revois me sourire
Et la pluie est amère quand je suis entrain de fléchir
Les jours, certaines dates sont faite que pour me souffrir
Et le temps passe et ce silence de ton absence me fait fuir
Dans mon sommeil, mes rêves s'élèvent à la nuit voilée
Dans mes pensées, ce sont nos souvenirs qui nous sourit
Mon amour, n'ais plus peur, je te rejoindrai
Sèches tes pleurs car cette nuit nous serons unis...
Lorsque le Ciel a décidé de t'enlever.
Ma souffrance, je l'ai fait taire dans mon silence,
Pensant que personne ne comprendrait ma peine causée
Je devenais comme une étoile qui brillait
Je me montrais de loin mais me taisais
jamais on a entendu un seul astre pleurer
pourtant parfois mes yeux s'illuminaient
J'ai beau te chercher, je ne te vois pas
Pourquoi ne pas prendre mon âme et te rejoindre ?
J'ai si mal, je souffre tant sans toi près de moi
Mon cœur se meurt sans ton corps pour m'étreindre
Je suis là une fleur sans son odeur, sans parfum
les abeilles quand il me voit change de chemin
Je suis là pour décorer une pauvre maison sans âme
Les jours passent et discrètement avec l'amertume je fane
J'ai eu l'impression que ta présence était tout près
Lorsque je m'endors, noyée dans un torrent de larmes
La beauté des temps passés que souvent tu admirais
Fût mort, par la douleur de t'avoir perdu, sous les flammes
Comme le ciel est beau quand je te revois me sourire
Et la pluie est amère quand je suis entrain de fléchir
Les jours, certaines dates sont faite que pour me souffrir
Et le temps passe et ce silence de ton absence me fait fuir
Dans mon sommeil, mes rêves s'élèvent à la nuit voilée
Dans mes pensées, ce sont nos souvenirs qui nous sourit
Mon amour, n'ais plus peur, je te rejoindrai
Sèches tes pleurs car cette nuit nous serons unis...