De qui le pastiche ?.J'excuse...
J’excuse les mères de m'avoir prédit... à l’envie de mes écrits !
De la grande chance interminable dont je me prétends, laminé de certitudes,
J’excuse ton miel le devoir de faire décroître les ânes sans joie, d’une parade, dis !
Grand mystère où je prévois la gaîté, l’espérance, la justice et l’exactitude.
J’excuse l’ancolie de certaines femmes voulant ressembler à cette fleur de vie,
Ces dames mouvantes menaçant la paume du soleil, celle d'une bonde d’arrosoir,
J’excuse la prolifération des formations rosées sans entaille, affublée de pot sans vie,
L'ânerie des détournements excessifs que j’influence, sans prévoir l’allée et le giratoire.
J’excuse les mécènes de publier mes petits mystères et retourner leurs égards,
Ne pourrait-on pas mieux élever le solde de mes tours, en panser bien d’autres,
J’excuse la glace avachie, d'omettre mes mots, les taire, suis-je en retard ?
Comme les grands qui s’escriment toujours d’ennui, attendant l’aurore pour les vôtres.
J’excuse l’envie de ne faire qu'un survol de suspense pour briller par une trêve d'absent,
De démettre les monts de vermeille, de devoir souffrir comme s’écharpe une veine,
J’excuse tous mes secrets, ceux de ne voir que l’instant et décrire ce que je ment,
Mon envie altière n’est qu’un diable ! Mon destin n'est que celui d’ôter vos peines.
J’excuse les mères qui se plaisent à sourire et démangent les hommes bien souvent,
Savez-vous qu'une nuit prochaine s’élèveront de cette toile céleste, tous les maîtres ?
J’excuse, j’excuse ! Vous êtes parfaites ! Toujours, vous avez ce désir surpuissant,
Qui s’accroît en révolution, chantant la réunion des orteils, un humour à admettre.
J’excuse les mères de m'avoir prédit... à l’envie de mes écrits !
De la grande chance interminable dont je me prétends, laminé de certitudes,
J’excuse ton miel le devoir de faire décroître les ânes sans joie, d’une parade, dis !
Grand mystère où je prévois la gaîté, l’espérance, la justice et l’exactitude.
J’excuse l’ancolie de certaines femmes voulant ressembler à cette fleur de vie,
Ces dames mouvantes menaçant la paume du soleil, celle d'une bonde d’arrosoir,
J’excuse la prolifération des formations rosées sans entaille, affublée de pot sans vie,
L'ânerie des détournements excessifs que j’influence, sans prévoir l’allée et le giratoire.
J’excuse les mécènes de publier mes petits mystères et retourner leurs égards,
Ne pourrait-on pas mieux élever le solde de mes tours, en panser bien d’autres,
J’excuse la glace avachie, d'omettre mes mots, les taire, suis-je en retard ?
Comme les grands qui s’escriment toujours d’ennui, attendant l’aurore pour les vôtres.
J’excuse l’envie de ne faire qu'un survol de suspense pour briller par une trêve d'absent,
De démettre les monts de vermeille, de devoir souffrir comme s’écharpe une veine,
J’excuse tous mes secrets, ceux de ne voir que l’instant et décrire ce que je ment,
Mon envie altière n’est qu’un diable ! Mon destin n'est que celui d’ôter vos peines.
J’excuse les mères qui se plaisent à sourire et démangent les hommes bien souvent,
Savez-vous qu'une nuit prochaine s’élèveront de cette toile céleste, tous les maîtres ?
J’excuse, j’excuse ! Vous êtes parfaites ! Toujours, vous avez ce désir surpuissant,
Qui s’accroît en révolution, chantant la réunion des orteils, un humour à admettre.