Sur un océan d'ignorance, je naviguais suivant par babord les courrants,
à tribord un vent c'est levé gonflant la mer à l'extrème,
à l'extrème tribord un vent de tempête,
un grain de folie à moudre la mauvaise graine,
"je suis de la mauvaise herbe braves gens braves gens"
toutes les voies maritimes nous mènent de ports en ports
une vague bleu à toute emportée,
brise lame à mon âme déjà noire,
et mon sang bout dans mes veines, rouge c'est du vin chaud
un vin du sud
"qui boira de ce vin la bois le sang des copains"
toutes les voies maritimes nous mènent de ports en porcs
moi le dauphinois sur ma coquilles de noix j'ai hissé pavillons noir,
pour naviguer sur les flots bleus,
le mur de l'atlantique se dresse déjà devant moi
mais mon mat est bien dressé pièce majeur, du doigt touchant le ciel
toutes les voies maritimes nous mènent de porcs en porcs
toi le vieux loup solitaire, tu ne savais pas que la louve n'est plus à Rome,
elle à dévorré c'est enfants, "les loups sont entrés dans paris"
tu craignais les mers du sud et c'est de la mer du nord que débarquerent hordes de wikings,
fiers gaulois qui avaient combatus l'empire, "mais qu'allait'il donc faire dans cette galère"
toutes les voix maritimes nous mènent de port en port
la fille du cyclope s'est prise pour une sirène,
préférant le chant des balènes je reste sourd à ses appels,
petit gars de la marine qui vont s'y fracasser sachez que la flame qui brille en son FARD
n'est pas la "liberté éclairant le monde" mais "nuit et brouillard" sur une mer des sarcasmes
cent fois la corne de brume a sonné cent fois vous vous êtes ègarés,
attention c'est une Famille de Naufrageur
rejetant à la mer ses rejetons, têtars chevelus, poissons volant,
sardine bouchant le port de Marseille, poisson chat, poisson d'avril
toutes les voix maritimes nous mènent de ports en porcs
des montagnes à la mer j'allais libre et solitaire
suivant dans l'aire un vol d'hirondelle "et se dire que l'automne viens d'arriver",
ou un vol de flamant rose "just a brick in the wall"
quelques cigognes remontant d'afriques livrer des bébés en Alsace "ou vider les poubelles à paris"
un peuple migrateur que la polution moderne désorienta déporté par des courrants noséabonds
"juste un détail de l'histoire" me direz vous
me restera t' il encore pour jouer, rêver ? quelques fous de bassan, une mouette rieuse,
le grand albatros "Exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l'empêchent de marcher"
je rejouterai au pas
"jamais rien ne l'empêche l'oiseau de voler plus haut"
"toi le gentil dauphin tu n'y comprend rien" plus rien même
les poissons rouges se sont livrés aux requins, les moutons aux loups,
et les souriceaux aux aigles
toutes les voix maritimes nous mènent de porcs en porcs
ha! mon pauvre Jacques Brel,
ton port d'Amsterdam, pas si noir que çà sentait les frittes et la bière,
peut être le H et le sida mais il puait la vie et les hommes qui la font
Amsterdam serte n'est pas'ici, mais la peste brune ce transmet de port en port,
toutes les voies maritimes ou terrestre, non! ne sont pas toutes bonne à prendre,
suivez bien les flèches, ne prenez pas les sens interdits,
moutons bêlant et klaxonnant vous qui suivez les bergers
"il était une bergère...elle tua son petit chaton"
toutes les voix maritimes nous mènent de ports en ports
je rêvais d'îles lointaines ou des peuples vivent presque nus vous offrant "des colliers de fleurs qui enivrent"
je rêvais d'espace et de libertés mais la connerie franchit les océans embarquée par les marins
"j'irai aux quatre vents foutre un peut le boxon"
il est fini le temps de la marine à voile,
nostalgie que faite vous des négriers et de leurs cargaisons enchainées en fond de cale
flotte aujourd'hui que des supertanker, des usines à touristes et des cuirassiers d'aciers
tous ne s'appellerons pas "Potemkine"
"sur la mer en furie je vomie mon quatre heure et mon midi aussi"
toutes les voix maritimes nous mènent de ports en porcs
je me passerai des honneurs de la marines
je suis un montagnard, à ma forteresse de calcaire je retourne,
Vercors, ho! mon Vercors ton nom raisonne encore aux oreilles des hommes libres
la bas il n'y pas de mer seulement quelque lacs aux eaux noires et profondes
quelques torrents sauvages et indomptés,
mais je m'égrare, la neige ici recouvre seulement la poussière, cache misère à mon coeur
je patauge dans la mare, "il est libre max y en à même qui disent..."
toutes les voix maritimes nous mènent de porcs en porcs
à tribord un vent c'est levé gonflant la mer à l'extrème,
à l'extrème tribord un vent de tempête,
un grain de folie à moudre la mauvaise graine,
"je suis de la mauvaise herbe braves gens braves gens"
toutes les voies maritimes nous mènent de ports en ports
une vague bleu à toute emportée,
brise lame à mon âme déjà noire,
et mon sang bout dans mes veines, rouge c'est du vin chaud
un vin du sud
"qui boira de ce vin la bois le sang des copains"
toutes les voies maritimes nous mènent de ports en porcs
moi le dauphinois sur ma coquilles de noix j'ai hissé pavillons noir,
pour naviguer sur les flots bleus,
le mur de l'atlantique se dresse déjà devant moi
mais mon mat est bien dressé pièce majeur, du doigt touchant le ciel
toutes les voies maritimes nous mènent de porcs en porcs
toi le vieux loup solitaire, tu ne savais pas que la louve n'est plus à Rome,
elle à dévorré c'est enfants, "les loups sont entrés dans paris"
tu craignais les mers du sud et c'est de la mer du nord que débarquerent hordes de wikings,
fiers gaulois qui avaient combatus l'empire, "mais qu'allait'il donc faire dans cette galère"
toutes les voix maritimes nous mènent de port en port
la fille du cyclope s'est prise pour une sirène,
préférant le chant des balènes je reste sourd à ses appels,
petit gars de la marine qui vont s'y fracasser sachez que la flame qui brille en son FARD
n'est pas la "liberté éclairant le monde" mais "nuit et brouillard" sur une mer des sarcasmes
cent fois la corne de brume a sonné cent fois vous vous êtes ègarés,
attention c'est une Famille de Naufrageur
rejetant à la mer ses rejetons, têtars chevelus, poissons volant,
sardine bouchant le port de Marseille, poisson chat, poisson d'avril
toutes les voix maritimes nous mènent de ports en porcs
des montagnes à la mer j'allais libre et solitaire
suivant dans l'aire un vol d'hirondelle "et se dire que l'automne viens d'arriver",
ou un vol de flamant rose "just a brick in the wall"
quelques cigognes remontant d'afriques livrer des bébés en Alsace "ou vider les poubelles à paris"
un peuple migrateur que la polution moderne désorienta déporté par des courrants noséabonds
"juste un détail de l'histoire" me direz vous
me restera t' il encore pour jouer, rêver ? quelques fous de bassan, une mouette rieuse,
le grand albatros "Exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l'empêchent de marcher"
je rejouterai au pas
"jamais rien ne l'empêche l'oiseau de voler plus haut"
"toi le gentil dauphin tu n'y comprend rien" plus rien même
les poissons rouges se sont livrés aux requins, les moutons aux loups,
et les souriceaux aux aigles
toutes les voix maritimes nous mènent de porcs en porcs
ha! mon pauvre Jacques Brel,
ton port d'Amsterdam, pas si noir que çà sentait les frittes et la bière,
peut être le H et le sida mais il puait la vie et les hommes qui la font
Amsterdam serte n'est pas'ici, mais la peste brune ce transmet de port en port,
toutes les voies maritimes ou terrestre, non! ne sont pas toutes bonne à prendre,
suivez bien les flèches, ne prenez pas les sens interdits,
moutons bêlant et klaxonnant vous qui suivez les bergers
"il était une bergère...elle tua son petit chaton"
toutes les voix maritimes nous mènent de ports en ports
je rêvais d'îles lointaines ou des peuples vivent presque nus vous offrant "des colliers de fleurs qui enivrent"
je rêvais d'espace et de libertés mais la connerie franchit les océans embarquée par les marins
"j'irai aux quatre vents foutre un peut le boxon"
il est fini le temps de la marine à voile,
nostalgie que faite vous des négriers et de leurs cargaisons enchainées en fond de cale
flotte aujourd'hui que des supertanker, des usines à touristes et des cuirassiers d'aciers
tous ne s'appellerons pas "Potemkine"
"sur la mer en furie je vomie mon quatre heure et mon midi aussi"
toutes les voix maritimes nous mènent de ports en porcs
je me passerai des honneurs de la marines
je suis un montagnard, à ma forteresse de calcaire je retourne,
Vercors, ho! mon Vercors ton nom raisonne encore aux oreilles des hommes libres
la bas il n'y pas de mer seulement quelque lacs aux eaux noires et profondes
quelques torrents sauvages et indomptés,
mais je m'égrare, la neige ici recouvre seulement la poussière, cache misère à mon coeur
je patauge dans la mare, "il est libre max y en à même qui disent..."
toutes les voix maritimes nous mènent de porcs en porcs
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