De nos prisons invisibles
S'évader,
En chevauchant la liberté,
Un coursier de feu,
Au galop d'étoiles,
Aux éclats d'émeraude,
Aérien sur le fil du temps.
S'évader,
En déchirant la brume océane,
Habillée d'embruns glacés
Par les lumières parfumées
D'essences tropicales colorées
Qu'exhalent les contrées lointaines.
S'évader,
Avec dans nos limbes bagages,
L'indicible mystère Vénitien,
La folie échevelée de Van Gogh,
Les voyages de Vasco de Gama,
L'imaginaire des contes de fées.
S'évader,
Avec dans le cœur et l'esprit,
Toutes les couleurs invisibles,
Dans les yeux, les promesses
D’horizons voilés d'aurores exaltées.
Et sur les lèvres tendues, offertes,
Aux pluies des mystères arides,
Le souvenir d’un goût d’éternité.
Comme tous ces marins immortels,
Qui sillonnent les mers sans rivages.
S'évader,
En chevauchant la liberté,
Un coursier de feu,
Au galop d'étoiles,
Aux éclats d'émeraude,
Aérien sur le fil du temps.
S'évader,
En déchirant la brume océane,
Habillée d'embruns glacés
Par les lumières parfumées
D'essences tropicales colorées
Qu'exhalent les contrées lointaines.
S'évader,
Avec dans nos limbes bagages,
L'indicible mystère Vénitien,
La folie échevelée de Van Gogh,
Les voyages de Vasco de Gama,
L'imaginaire des contes de fées.
S'évader,
Avec dans le cœur et l'esprit,
Toutes les couleurs invisibles,
Dans les yeux, les promesses
D’horizons voilés d'aurores exaltées.
Et sur les lèvres tendues, offertes,
Aux pluies des mystères arides,
Le souvenir d’un goût d’éternité.
Comme tous ces marins immortels,
Qui sillonnent les mers sans rivages.