En écho aux deux textes précédents
Interdire, contester, râler ou injurier.
On dit ce qui n’va pas, jamais ce qui est bien
Rarement, on stimule l’intérêt de quelqu’un.
Jamais on ne loue les efforts qu’il fournit,
On approuve si peu, complimente en ami.
Et pourtant : c’est si bon d’être aimable et ouvert,
Savoir réconforter par un sourire sincère.
On remercie le chien, prodiguant des caresses,
On félicite l’enfant, l’entourant de tendresse,
Mais bien vite on oublie, on veut qu’il devienne grand
Qu’il sache tout et tout de suite du monde des parents !
On réclame des notes, une bonne tenue
Et face aux exigences, l’amour a disparu.
On ne sait plus parler avec calme et gaieté
Ni dédramatiser quand bêtise, il commet.
Faisons-lui donc confiance, qu’il puisse s’épanouir !
Mais on relève l’erreur, on ne fait que punir.
On parle toujours de trop, à tort et à travers !
On se croit supérieur, parfait, autoritaire,
On aime se satisfaire, commander, diriger.
On veut parler de soi, on n’sait plus écouter.
Cessons d’être égoïstes, pensons aux autres un peu,
Evitons les conflits si l’on veut être heureux.
On me fait des reproches, critique mes opinions,
Parce que j’écoute les miens et leur donne raison.
Qu’importe ! L’important c’est d’aimer, éviter de juger,
C’est savoir respecter, y croire et écouter.
Chaque être est différent et c’est là tout le charme
Pourquoi la dissemblance rebute ou nous alarme ?
Faisons de notre mieux pour le bien de chacun
Ecoutons notre cœur et suivons son chemin.
Puissent mes mots pour toi ne jamais s’emballer
Qu’ils demeurent à jamais tendresse, amour, gaieté
Que je sache t’écouter, rarement te contredire,
Et te parler d’amour pour le siècle à venir,
Tout comme tes paroles résonnent encore en moi
Et mon cœur se réveille au doux son de ta voix.
Je ne cesserai d’espérer te revoir encore
Pour que ton souffle, tes yeux revitalisent mon corps.
8/05/08
De mots en paroles
On ne sait toujours pas parler d’amour …
On ne fait que critiquer ou réprimanderOn ne sait toujours pas parler d’amour …
Interdire, contester, râler ou injurier.
On dit ce qui n’va pas, jamais ce qui est bien
Rarement, on stimule l’intérêt de quelqu’un.
Jamais on ne loue les efforts qu’il fournit,
On approuve si peu, complimente en ami.
Et pourtant : c’est si bon d’être aimable et ouvert,
Savoir réconforter par un sourire sincère.
On remercie le chien, prodiguant des caresses,
On félicite l’enfant, l’entourant de tendresse,
Mais bien vite on oublie, on veut qu’il devienne grand
Qu’il sache tout et tout de suite du monde des parents !
On réclame des notes, une bonne tenue
Et face aux exigences, l’amour a disparu.
On ne sait plus parler avec calme et gaieté
Ni dédramatiser quand bêtise, il commet.
Faisons-lui donc confiance, qu’il puisse s’épanouir !
Mais on relève l’erreur, on ne fait que punir.
On parle toujours de trop, à tort et à travers !
On se croit supérieur, parfait, autoritaire,
On aime se satisfaire, commander, diriger.
On veut parler de soi, on n’sait plus écouter.
Cessons d’être égoïstes, pensons aux autres un peu,
Evitons les conflits si l’on veut être heureux.
On me fait des reproches, critique mes opinions,
Parce que j’écoute les miens et leur donne raison.
Qu’importe ! L’important c’est d’aimer, éviter de juger,
C’est savoir respecter, y croire et écouter.
Chaque être est différent et c’est là tout le charme
Pourquoi la dissemblance rebute ou nous alarme ?
Faisons de notre mieux pour le bien de chacun
Ecoutons notre cœur et suivons son chemin.
Puissent mes mots pour toi ne jamais s’emballer
Qu’ils demeurent à jamais tendresse, amour, gaieté
Que je sache t’écouter, rarement te contredire,
Et te parler d’amour pour le siècle à venir,
Tout comme tes paroles résonnent encore en moi
Et mon cœur se réveille au doux son de ta voix.
Je ne cesserai d’espérer te revoir encore
Pour que ton souffle, tes yeux revitalisent mon corps.
8/05/08