DE L'AUTRE CÔTE DES RÉCIFS ,
Je ne peux abolir ces souffrances qui entaillent mes rires
Qui piétinent mon corps de mille coups de sabots
Si j'étouffe mes cris c'est pour ne plus entendre vos dires
Cette vaine guerre qui se lit dans vos yeux est mon ghetto
Je ne veux plus poser mes paupières vous y liriez mes larmes
Car mes yeux sont noyés de tous ces maux de trop
Ceux que j'emporte avec foi qui pourraient rompre le charme
De ces adieux dignes qui font à certains défauts
Gardez en souvenir contre tous vents ces riches mémoires
Celles faites d'amour et bien plus celles qui mêlent le sang
Il n'y a rien de plus beau que toutes ces tristes histoires
Celles qui salivent de hasard aux reflets du mauvais temps
Orgie de couleurs ,orgie de lumières restez ce brillant paradis
Celui qui rend soucieux celui qui interpelle la plus infernale violette
Saura-telle visiter la vie en escaladant le ciel de nuit
Où se perdra-telle dans les cachots de l'enfer ces tristes oubliettes
LILASYS
Je ne peux abolir ces souffrances qui entaillent mes rires
Qui piétinent mon corps de mille coups de sabots
Si j'étouffe mes cris c'est pour ne plus entendre vos dires
Cette vaine guerre qui se lit dans vos yeux est mon ghetto
Je ne veux plus poser mes paupières vous y liriez mes larmes
Car mes yeux sont noyés de tous ces maux de trop
Ceux que j'emporte avec foi qui pourraient rompre le charme
De ces adieux dignes qui font à certains défauts
Gardez en souvenir contre tous vents ces riches mémoires
Celles faites d'amour et bien plus celles qui mêlent le sang
Il n'y a rien de plus beau que toutes ces tristes histoires
Celles qui salivent de hasard aux reflets du mauvais temps
Orgie de couleurs ,orgie de lumières restez ce brillant paradis
Celui qui rend soucieux celui qui interpelle la plus infernale violette
Saura-telle visiter la vie en escaladant le ciel de nuit
Où se perdra-telle dans les cachots de l'enfer ces tristes oubliettes
LILASYS