De l’humour, je colporte….
Tiens ! Un concours sur une porte entrouverte,
Alors que je fais mes textes sous « windows »
Vite, fermons là et tournons l’espagnolette,
Pour tenir cet accès, pas besoin de sandows.
Je tiens à faire dans cette petite embrasure,
Réfléchir sur quelques petits écrits d’humour,
Et si jamais ici, je vous lasse à l’usure,
Sachez éteindre vos maux, je vous enlace d’amour.
Car dès l’ouverture de ce petit examen,
Masculine, féminine, je ne trouve pas la rime,
Je vous ai pondu ce gentil texte de mes mains,
Avec mes termes enchantant toujours je trime.
Et s’il nous faut un frêle passage pour sourire,
Nourrissons nous toujours de tous nos traits d’esprit,
Et c’est grande ouverte que j’veux entendre des rires,
Dès le seuil, l’emballement tel que j’ai appris.
Et si pour une petite issue à mon poème,
D’une petite fente que m’impose cette porte,
Je veux du vestibule, vous lire les cris que j’aime,
Et ce rayon de soleil, je vous l’apporte.
Tiens ! Un concours sur une porte entrouverte,
Alors que je fais mes textes sous « windows »
Vite, fermons là et tournons l’espagnolette,
Pour tenir cet accès, pas besoin de sandows.
Je tiens à faire dans cette petite embrasure,
Réfléchir sur quelques petits écrits d’humour,
Et si jamais ici, je vous lasse à l’usure,
Sachez éteindre vos maux, je vous enlace d’amour.
Car dès l’ouverture de ce petit examen,
Masculine, féminine, je ne trouve pas la rime,
Je vous ai pondu ce gentil texte de mes mains,
Avec mes termes enchantant toujours je trime.
Et s’il nous faut un frêle passage pour sourire,
Nourrissons nous toujours de tous nos traits d’esprit,
Et c’est grande ouverte que j’veux entendre des rires,
Dès le seuil, l’emballement tel que j’ai appris.
Et si pour une petite issue à mon poème,
D’une petite fente que m’impose cette porte,
Je veux du vestibule, vous lire les cris que j’aime,
Et ce rayon de soleil, je vous l’apporte.