Texte 4: Dans le métro
A 6 six heures pétantes
Le réveil explose mes oreilles
Ca me tente vraiment
D’exploser ce putain de réveil
D’une humeur massacrante
Je suis vraiment à cran
Et pis faut rejoindre ce métro
On y trouve un tas de blaireaux
L’heure de pointe c’est l’enfer
Tu veux rentrer dans le train ?
Va falloir te battre sévère
Sont pires que des requins !
Une fois l’épreuve passée
Faut supporter cette odeur
Des aisselles pas lavées
Imaginez cette horreur !
Dans cette chaleureuse ambiance
Blindé à mort, le métro avance
Accélération et gros coup de frein
Les gens se cassent la gueule un par un
Attend c’est pas fini !
Quand le bazar se calme
Vers les coups de midi
Se passe un truc pas mal
Si, au moment de monter
Tu es coincé dans les portes
Pas un ne va se lever
Que leur flemme les emporte !
Après ça tu peux me comprendre
Ma haine envers le métro, pas tendre
J’ai q’une hâte, retrouver l’aire d’en haut
Me casser de ces tunnels infernaux !
Merci la RATP…
A 6 six heures pétantes
Le réveil explose mes oreilles
Ca me tente vraiment
D’exploser ce putain de réveil
D’une humeur massacrante
Je suis vraiment à cran
Et pis faut rejoindre ce métro
On y trouve un tas de blaireaux
L’heure de pointe c’est l’enfer
Tu veux rentrer dans le train ?
Va falloir te battre sévère
Sont pires que des requins !
Une fois l’épreuve passée
Faut supporter cette odeur
Des aisselles pas lavées
Imaginez cette horreur !
Dans cette chaleureuse ambiance
Blindé à mort, le métro avance
Accélération et gros coup de frein
Les gens se cassent la gueule un par un
Attend c’est pas fini !
Quand le bazar se calme
Vers les coups de midi
Se passe un truc pas mal
Si, au moment de monter
Tu es coincé dans les portes
Pas un ne va se lever
Que leur flemme les emporte !
Après ça tu peux me comprendre
Ma haine envers le métro, pas tendre
J’ai q’une hâte, retrouver l’aire d’en haut
Me casser de ces tunnels infernaux !
Merci la RATP…