Dans le flot de nos océans
Toi, oui, toi, je ne te connais qu’à peine,
Pourtant, ton regard semblait m’attirer,
Ton air paraissait tendre et sauvage,
Certes, je suis tenté de t’approcher,
Toi, oui, toi, qui connait peu la haine,
Pourtant, tu as envie de m'approcher,
Ton air paraît si doux et sans clivage,
Et l'honneur que tu oses me toucher,
Sous l’esquisse de ton regard narquois,
Il me vient l’envie d’oser te voler un baiser,
Mon cœur vibre, et je tente d’esquiver,
Mon regard me trahit et en dit un peu trop,
Sous tes rêves de nacre et de besoin d' lroi, (Iroi: héros en sicilien)
Je me dis pourquoi pas te rendre ton baiser,
Tes yeux disent, je veux lorsque moi, j'hésitais,
Et si tu te rapproches, moi, je tremble à nouveau,
Ma main cherche la tienne afin de t’effleurer,
Celle-ci m’offre une chaleur tellement ardente,
Que je n’en trouve plus la force d’en repartir,
Quand bien même, je ne sais si cela te gêne,
L'amour est une folie, nous le sommes à lier,
Ce que tu fais ici, construit notre charpente,
Il n'y a plus de but et plus rien à finir,
Tout est à commencer, je crois bien que je t’aime,
Dans cette folie harmonieuse, je veux rester,
Aimer, sourire et rire jusqu’aux larmes avec toi,
À tes côtés, je rêve de me noyer dans l’océan de sentiments,
Entre ses profondeurs, nous y trouverons notre refuge,
Ce serait tellement bien de vivre à tout jamais,
Sur la plage l'été, et l'hiver comme des rois,
Nous serons le bonheur au-delà des serments,
Si la mousson arrive, nous serons le déluge,
Le déluge ne pourra pas nous faire peur,
Tant que nous resterons ensemble,
Car nous sommes bien trop en sueur,
Jumeaux d'amour tels des peupliers tremble.
Angepapillonanou, Matthale.
Toi, oui, toi, je ne te connais qu’à peine,
Pourtant, ton regard semblait m’attirer,
Ton air paraissait tendre et sauvage,
Certes, je suis tenté de t’approcher,
Toi, oui, toi, qui connait peu la haine,
Pourtant, tu as envie de m'approcher,
Ton air paraît si doux et sans clivage,
Et l'honneur que tu oses me toucher,
Sous l’esquisse de ton regard narquois,
Il me vient l’envie d’oser te voler un baiser,
Mon cœur vibre, et je tente d’esquiver,
Mon regard me trahit et en dit un peu trop,
Sous tes rêves de nacre et de besoin d' lroi, (Iroi: héros en sicilien)
Je me dis pourquoi pas te rendre ton baiser,
Tes yeux disent, je veux lorsque moi, j'hésitais,
Et si tu te rapproches, moi, je tremble à nouveau,
Ma main cherche la tienne afin de t’effleurer,
Celle-ci m’offre une chaleur tellement ardente,
Que je n’en trouve plus la force d’en repartir,
Quand bien même, je ne sais si cela te gêne,
L'amour est une folie, nous le sommes à lier,
Ce que tu fais ici, construit notre charpente,
Il n'y a plus de but et plus rien à finir,
Tout est à commencer, je crois bien que je t’aime,
Dans cette folie harmonieuse, je veux rester,
Aimer, sourire et rire jusqu’aux larmes avec toi,
À tes côtés, je rêve de me noyer dans l’océan de sentiments,
Entre ses profondeurs, nous y trouverons notre refuge,
Ce serait tellement bien de vivre à tout jamais,
Sur la plage l'été, et l'hiver comme des rois,
Nous serons le bonheur au-delà des serments,
Si la mousson arrive, nous serons le déluge,
Le déluge ne pourra pas nous faire peur,
Tant que nous resterons ensemble,
Car nous sommes bien trop en sueur,
Jumeaux d'amour tels des peupliers tremble.
Angepapillonanou, Matthale.