Dans la transparence
Le petit trait dans la transparence,
Du verre cassé, un peu de violence,
Le lot d'un soir, givre et sucre, rance,
Tous les tiroirs, ouvrent un sas immense.
La mer morte peut s'éveiller parfois,
Le meilleur ami se changer en Judas,
La plus belle des femmes, en mortel débat,
La plus heureuse nouvelle, le pire des désarrois.
Le petit trait dans la transparence,
Lime les barrières, mais pas l'homme aux abois,
Du verre cassé, ouvre un sas immense,
et tous les soirs, je recommence.
L'Aurore paraît si verte là bas,
L'immensité, mon beau détroit,
Légèreté d'un instant en bas,
Ce questionnement, cet entremoi.
Pour ne pas y mourir, découvert en nuance,
Il faut la solitude et non pas l'abstinance,
Trouver les mots qu'il faut, être de bon aloi,
De tous ces beaux tiroirs, préférant l'apparence.
En mourant de rêver, dans ce drôle d'endroit,
En rêvant de rencontre, et de nouveaux ébats,
D'être seul par moment, avec mon entresoi,
Les âmes son torturées, l'apologie viendra.
Soyez tous rassurés, la vie est comme elle doit,
Le chaud est par moment, quelque chose de froid,
Interroge une part, et puis retombe à plat,
Révolution ? Interrogation ? et puis basta.
Le petit trait dans la transparence,
Mais qui a dit que la vérité vaincra?
L'archer mélodieux jure, sur le bois,
injure la fée de la transparence.
En gagnant les débats, l'on peut gagner le droit,
D'avoir ni dieu ni maître, dépasser l'apparence,
Et je n'ai plus de feu, car je n'ai plus de bois,
Ne reste que la paix et non pas l'ignorance.
Le petit trait dans la transparence,
Du verre cassé, un peu de violence,
Le lot d'un soir, givre et sucre, rance,
Tous les tiroirs, ouvrent un sas immense.
La mer morte peut s'éveiller parfois,
Le meilleur ami se changer en Judas,
La plus belle des femmes, en mortel débat,
La plus heureuse nouvelle, le pire des désarrois.
Le petit trait dans la transparence,
Lime les barrières, mais pas l'homme aux abois,
Du verre cassé, ouvre un sas immense,
et tous les soirs, je recommence.
L'Aurore paraît si verte là bas,
L'immensité, mon beau détroit,
Légèreté d'un instant en bas,
Ce questionnement, cet entremoi.
Pour ne pas y mourir, découvert en nuance,
Il faut la solitude et non pas l'abstinance,
Trouver les mots qu'il faut, être de bon aloi,
De tous ces beaux tiroirs, préférant l'apparence.
En mourant de rêver, dans ce drôle d'endroit,
En rêvant de rencontre, et de nouveaux ébats,
D'être seul par moment, avec mon entresoi,
Les âmes son torturées, l'apologie viendra.
Soyez tous rassurés, la vie est comme elle doit,
Le chaud est par moment, quelque chose de froid,
Interroge une part, et puis retombe à plat,
Révolution ? Interrogation ? et puis basta.
Le petit trait dans la transparence,
Mais qui a dit que la vérité vaincra?
L'archer mélodieux jure, sur le bois,
injure la fée de la transparence.
En gagnant les débats, l'on peut gagner le droit,
D'avoir ni dieu ni maître, dépasser l'apparence,
Et je n'ai plus de feu, car je n'ai plus de bois,
Ne reste que la paix et non pas l'ignorance.