Dans la clarté d'une ombre,elle s'évapore,
Trainant sa langueur dans le silence,
Elle profite de la lumière radieuse de dehors,
Pour retourner sur ses pas,et elle pense.
Il était ici prés de l'étang,regardant les cygnes blancs,
Sous le parvis,où d 'un geste ils sont devenus amis,
Un café, une discussion,ils partageaient avec élan,
Un restaurant rieur de salaisons,de Chianti.
A-t-il des réticences? Quel vide tout à coup,
Une femme à ses côtés ? il a toujours esquivé,
Mais à l'idée elle s'est inscrite au prime rendes-vous,
Elle a le sens aigu des femmes tenant la vérité.
Quelle importance,elle sait les jardins secrets,
N'étant pas sotte à être l'ombre chinoise parée de vent
Ne pas comprendre impose tourments, désagréments,
Pourtant, elle a fait rase sur les avances : Je le sens bon amant!
Son été sera bien ombrageux, si muette reste la voix,
Un bonjour ne écoute pas, à moins que se soit pesant aussi,
Elle déteste les situations caduques ,et dans les yeux droits
Saperlipopette ! les barres sur les T et points sur les I
Elle lui dira: Monsieur, vous vous moquez d'autrui,
Moisissez où vous végétez, je reprends la chaine du soleil,
Un bien être apprécié, qui dessine des arcs-en -ciel ,
Pourrissez dans le trou à ratons tueurs et leur fourbi,
Je vis sans votre air affable, je vis à grandes bouffées
Les saisons de Vie ,n'omettez pas que nos âges offrent le frisson,
Je le préfère de dessous une table ,cherchant ma toison,
Et je réponds . Soignez -vous, puisque votre corps s'est abimé,
Le mien est guidé ,pour apporter encore de la Félicité,
Inutile le sous-fifre, mais un homme ,un vrai, un tatoué!
Pas une chiffe sans émoi. Je vous salue ,selon la tradition,
A la non revoyure, et fichtre la sécheresse d'un crouton..
Trainant sa langueur dans le silence,
Elle profite de la lumière radieuse de dehors,
Pour retourner sur ses pas,et elle pense.
Il était ici prés de l'étang,regardant les cygnes blancs,
Sous le parvis,où d 'un geste ils sont devenus amis,
Un café, une discussion,ils partageaient avec élan,
Un restaurant rieur de salaisons,de Chianti.
A-t-il des réticences? Quel vide tout à coup,
Une femme à ses côtés ? il a toujours esquivé,
Mais à l'idée elle s'est inscrite au prime rendes-vous,
Elle a le sens aigu des femmes tenant la vérité.
Quelle importance,elle sait les jardins secrets,
N'étant pas sotte à être l'ombre chinoise parée de vent
Ne pas comprendre impose tourments, désagréments,
Pourtant, elle a fait rase sur les avances : Je le sens bon amant!
Son été sera bien ombrageux, si muette reste la voix,
Un bonjour ne écoute pas, à moins que se soit pesant aussi,
Elle déteste les situations caduques ,et dans les yeux droits
Saperlipopette ! les barres sur les T et points sur les I
Elle lui dira: Monsieur, vous vous moquez d'autrui,
Moisissez où vous végétez, je reprends la chaine du soleil,
Un bien être apprécié, qui dessine des arcs-en -ciel ,
Pourrissez dans le trou à ratons tueurs et leur fourbi,
Je vis sans votre air affable, je vis à grandes bouffées
Les saisons de Vie ,n'omettez pas que nos âges offrent le frisson,
Je le préfère de dessous une table ,cherchant ma toison,
Et je réponds . Soignez -vous, puisque votre corps s'est abimé,
Le mien est guidé ,pour apporter encore de la Félicité,
Inutile le sous-fifre, mais un homme ,un vrai, un tatoué!
Pas une chiffe sans émoi. Je vous salue ,selon la tradition,
A la non revoyure, et fichtre la sécheresse d'un crouton..
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