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Désordre, des ordres

Drakkar

Nouveau poète
#1
Je vous plonge dans un monde de combats,
Suivez moi ! Lisez, et réfléchissez aux guerriers,
Ceux qui ne restent au grand jamais las,
De vouloir apporter le bonheur au sein du sentier,
Des horreurs, des honneurs, du mal, du bien...Ah ! Là ! Là !
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Je vous conte une vision, un souvenir de combattant,
Nous étions venus pour la paix, et nous supportions,
La crainte dangereuse et brutale d'un combat. Alarmant ?
Non ! Car nous suivons les ordres. Et quand nous marchions,
Sans désordre, nous étions quelques fois mécontent,
De voir survenir le feu sur nous tous. Attaques brutales, on,
Se couvre, se protège de ces légions monstrueuses, entend !
Ces bruits ! Ce vacarme ! Sent notre peur ! Nous ne fléchirons,
On s'organise face à ces attaques qui viennent sur notre flanc,
Nous ripostions, nous nous mettions en sécurités de ces couillons,


Je saisis mon fer, j'ajuste, je vise et je tire ! On parade, on se dégage,
Je fends le vide avec mon visage et soutiens mon feu sur des distances,
Ma peur devient haine bestiale. Je protège mon frère d'arme. Même âge !
Nous nous couvrons ! En plein vol, un ange nous aide. Quelle chance !
Je m'extrais de mon repli et avance de quelques pas. Mais je reste sage !

Nous nous surveillons, nous nous protégeons. Point d'individualisme,
Des amis s'affalent au sol ! Un bruit violent me souffle. Réalisme !
Je me retrouve un genoux à terre. Légèrement sonné... J'ai du carrisme !

Je me relève hébété. Je rechute... Un ami m'encourage ! Je suis pris d'une fureur !
J'effleure mon fusil et je brandis une seconde fois mon attaque. Je n'ai pas peur...
Pas encore du moins... J'ai une entaille sur mon bras... Du sang... Quel horreur !
Ils vont me le payer ! Et mes potes par terre... Merde ! Punaise j'y vais avec honneur,
L'oiseau ami leur inflige du recul. C'est un signe étrange, terrifiant, mais porteur,

Mon officier est là, crie et nous indique un endroit en beuglant !
Simultanément, les ordres sont respectés. Quittons cet endroit !
Chassons ces renégats. Abattons les. On y va ! se remémorant,
Ces visions que nos ennemis ont fait. Viols, massacres... Nul droit,
De faillir. Vengeance tu nous tiens. On court sur eux ! En visant,
Juste et droit. On s'abat violemment sur leur ligne à l'abri des bois,

Nous les débordons, nos manipulations expertes les anéantissent,
Nous les sommons de se rendre. Ils semblent perdre de leur agressivité,
Nous rentrons dans leurs tranchées. Alors, rapidement ils réagissent,
Ils ne veulent être prisonniers, car criminels, ils le sont. Réalité !

Ils tentent une sortie, mais je ne veux pas de cela. C'est trop facile !
Je veux les faire basculer dans un cercueil. Leurs uniformes sont féroces,
Similaires aux massacres croisés sur leurs fuites ! Ils sont débiles !
J'actionne mon feu, jette des grenades... Je jette ainsi toutes mes forces,
Mes attaques sont violentes. Mes sentiments ne sont point futiles !

J'atteins mes assaillants... Ils lèvent les bras... C'est fini !
Je regarde mes amis. Il en manque... Alors je palis...
Je plonge sur un de ce monstres, et là je lis,
Dans ses yeux ,la peur... La grande infinie !

Je peux transformer cette fin de combat en exécution.
Non ! Je serais comme eux ! Merde ! C'est cruel !
Pas le droit de vengeance pour respecter une vision,
Oui ! Celle des droits de l'homme. Elle est si belle !
Je te tiens, mentalement sera ta punition, sa sanction !

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Dur sont ces mots... Et pourtant j'ai été délicatement,
Ces hommes de libertés ! Ces hommes de rangs,
Des ordres entendus pour effacer le désordre par le sang,
Certes, mais venant apporter la liberté. C'est cent
Pour cent de dons de soi même. Tu le sens ?